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mercredi 22 juillet 2009

H1N1 nouvel arme du nouvel ordre mondial?

Influenzavirus A sous-type H1N1

H1N1 désigne un ensemble de virus de la grippe appartenant à la même
lignée de type A, sous-type H1N1.
Ils sont caractérisés par un pouvoir pathogène élevé pour l'Homme.

Le nom H1N1 indique que le virus présente à sa surface la combinaison
de deux molécules-antigènes :

* l'hémagglutinine de type 1 ;

L'hémagglutinine (HA) est une glycoprotéine antigénique présente à la
surface du virus de la grippe,
Et est responsable de la fixation de la particule virale à un
récepteur situé sur la cellule cible.
Le nom hémagglutinine provient de la faculté de la protéine à
agglomérer les érythrocytes hématiques (Nelson 2005).

Fonctions et mécanismes d'action

L'HA a deux fonctions principales :

1. la reconnaissance des cellules vertébrées cibles, accomplie lors
de la fixation aux récepteurs de ces cellules contenant de l'acide
sialique (cellules de l'épithélium pulmonaire).
2. la fusion des membranes endosomales hôtes et virales (White
1997), accomplie par le recrutement des molécules HA par le site hôte
de fusion, où certaines de ces molécules entreprennent des altérations
de conformation déstabilisant la double couche lipidique hôte, ce qui
conduit à la formation conjointe d'un intermédiaire de fusion
associant les deux doubles couches lipidiques.

Dès la fusion opérée, la membrane cellulaire conjointe se retend, la
coque virale s'ouvre directement sur le cytoplasme hôte, et le
matériel génétique viral est injecté dans la cellule hôte où il va
pouvoir se reproduire.


* la neuraminidase de type 1.
La neuraminidase est une classe d'enzymes de type glycoprotéine
antigène (N° EC 3.2.1.18 ) trouvée sur la surface des virus de
l'influenza (ou grippe). Elle fait partie de la famille des
glycosilases, et de la sous-famille des glycosidases (enzymes
hydrolysant les composés O- et S-glycosyl) qui comprend aussi les
amylases (enzymes humaines digestives décomposant les longues chaines
glycosées comme l'amidon)
Fonction [modifier]
La neuraminidase scinde les liaisons de résidus d'acide sialique liant
les pelotes de carbohydrates glucosiques (oligosaccharides,
glycoprotéines, glycolipides, acides colominiques et autres substrats
polyglycosés synthétiques) à la surface des cellules infectées. Cela
facilite la traversée des membranes cellulaires, puis la prolifération
des virus grippaux au sein des cellules infectées qui servent alors
d'incubateurs reproducteurs du patrimoine génétique viral, au
détriment des fonctions cellulaires normales.
L'action de la neuraminidase est inefficace sur les cellules à
membranes lipidiques faiblement glucosées (comme les cellules de la
peau et des muqueuses intestinales) qui ne sont ainsi pas facilement
infectées, c'est pourquoi ces virus sont résistants au sein des
systèmes digestifs des volailles, où leur similitude protéique avec
les agents digestifs de ces espèces ne les expose pas aux actions des
anticorps, et où le milieu digestif lui-même produit les éléments
nécessaires à la survie du virus. Les volailles sont alors couramment
porteuses naturelles de virus grippaux. Toutefois, l'action du virus
est efficace sur les cellules sexuelles, ce qui explique que les
volailles infectées cessent de pondre.
Au contraire, les cellules des muqueuses ORL et de l'œil
(particulièrement chez l'homme) et les cellules pulmonaires à membrane
plus fine sont plus faiblement protégées, et les virus à neuraminidase
peuvent les contaminer facilement.

Transmission et symptômes
La transmission du virus H1N1 se fait de la même manière que dans le
cas d'une grippe saisonnière :
• voie aérienne, le virus se diffuse dans l'air dans les gouttelettes
provoquées par la toux, des éternuements ou des postillons ;
• contact rapproché avec une personne infectée (embrassade, poignée de main) ;
• contact avec des objets contaminés par un malade (toilettes, poignée
de porte).
Les symptômes de la grippe A/H1N1 sont similaires à ceux de la grippe
saisonnière : fièvre, courbatures, fatigue, difficultés respiratoires
parfois accompagnés de toux et perte d'appétit.
Un virus présentant cette combinaison antigénique fut responsable de
la pandémie de grippe espagnole de 1918-1919, qui tua environ trente
millions de personnes. Le peu de connaissance sur la vie des virus ne
permet pas de savoir comment ce virus est apparu ni pourquoi il
disparut en 1919 pour ne réapparaître par la suite que sous une forme
beaucoup moins virulente.
De plus, le H1N1 fut aussi l'agent responsable de la pandémie de
1977-1978 à la mortalité relativement faible. On le retrouve dans
d'autres épidémies locales, il a ainsi pu être observé aux États-Unis
et en Espagne depuis 2007[3].
Courant mars 2009, le virus H1N1 fait sa réapparition au Mexique sous
une forme génétique inédite, et cause plus de 400 victimes à travers
le monde.
Pourquoi H1N1?
Beaucoup de personnes parlent de la grippe H1N1 sans vraiment
s'arrêter à ce que veut dire H1N1. Voici un petit article qui va vous
éclairer un peu.
D'abord, il faut savoir que l'on catégorise très souvent les virus par
les antigènes qu'ils présentent. Un antigène est une molécule qui
provoque une réaction immunitaire. Dans le cas de la grippe influenza
les antigènes présentés sont l'Hémagglutinine et la Neuraminidase. Ce
sont donc les fameux H (hémagglutinine) et N (neuraminidase) du nom.
Pour compliquer un peut les choses il existe 15 types d'antigènes H et
9 types d'antigène N. comme vous pouvez le constater cela nous fait un
total de 135 possibilités de combinaisons. Donc notre fameuse grippe à
l'antigène hémagglutinine 1 et neuraminidase 1.

Virus de la grippe
Maintenant que vous savez tout ça, poussons les choses un peu plus
loin. Les grippes sont aussi séparées par 3 grandes catégories :
— le A, qui signifie que c'est une grippe qui cause d'épidémie et des
endémies dans des « réservoirs » comme les oiseaux et les porcs.
— le B, qui signifie une grippe grave dont le «réservoirs» principale
est l'homme.
— la C, qui signifie une grippe mineure.
Ainsi, notre joyeuse grippe H1N1 est classé A/H1N1 (elle vient du porc).
Quoi les mêmes antigènes!?
Vus que vous êtes maintenant des « spécialistes » de la nomenclature
de la grippe, je vais vous dire un petit secret. Le virus de la grippe
espagnole qui a causé la grande pandémie en 1918 est de la classe
A/H1N1. (Ici, vous comprenez mon titre et aussi pourquoi l'OSM
paniquait un peu.) Mais calmez-vous! Même s'ils ont la même classe, le
virus n'est pas identique, cependant la classe reste hautement
pathogène pour l'homme.

Ce que l'on sait
Depuis quelques mois, la « grippe porcine » défraye la chronique. Que
sait-on réellement de ce nouveau virus ? Quels sont les scénarios de
la pandémie ? Le point avec trois experts : Antoine Flahault,
directeur de l'Ecole des hautes études en santé publique, Jean-Paul
Gonzalez, spécialiste des maladies virales émergentes à l'IRD et
Xavier de Lamballerie, virologue et professeur à l'université
Aix-Marseille II.

Quelle est l'origine de ce nouveau virus ?



Un virus grippal de type A et de sous-type H1N1
© Yuki999 / CC 3.0

Les premières analyses génétiques ont révélé la présence de séquences
ARN d'origine porcine dans ce virus. D'où son appellation au départ de
« grippe porcine ». Depuis, on sait que ce virus est le fruit de
recombinaisons entre des virus porcin, humain et aviaire. Pour autant,
l'origine de ce virus reste incertaine. Des analyses ultérieures
viendront sans doute préciser ce point. En attendant, l'Organisation
mondiale de la santé (OMS) recommande la dénomination « grippe A
(H1N1) ».
http://www.sanofi-aventis.com/presse/communiques/2009/ppc_24324.asp
Sanofi-Aventis investit 100 millions € pour construire une usine de
vaccin grippal saisonnier et pandémique au Mexique
Contrat signé à Mexico à l'occasion de la Visite d'Etat du Président
Nicolas Sarkozy
Sanofi-Aventis (EURONEXT : SAN et NYSE : SNY) annonce aujourd'hui :
Mexico City, Mexique - 9 mars 2009, la signature d'un contrat avec
les autorités mexicaines, pour la construction d'une usine de
production de vaccin contre la grippe, représentant un investissement
de 100 millions d'euros.
L'annonce a été faite au cours d'une cérémonie en présence de MM.
Felipe Calderon, Président du Mexique et Nicolas Sarkozy, Président de
la République Française, en visite officielle au Mexique.
Cette usine sera construite et exploitée par Sanofi pasteur, la
division vaccins du Groupe Sanofi-Aventis, représenté par Chris
Viehbacher, directeur général de Sanofi-Aventis.
« Avec la construction de cette usine, Sanofi-Aventis est fier de
contribuer au renforcement des infrastructures de santé du Mexique et
tient à souligner l'engagement exemplaire envers la santé publique de
ce pays, à travers son programme de vaccination contre la grippe et de
préparation à la pandémie », a déclaré Chris Viehbacher. « Cet
investissement démontre l'engagement local de Sanofi-Aventis pour la
santé mondiale. Cette usine constituera un atout de santé publique,
pour les Mexicains ainsi que pour l'Amérique Latine, dans le cadre de
la préparation à la pandémie grippale ».
Le contrat a été signé par les représentants respectifs de Birmex
(Laboratorio de Biológicos y Reactivos de Mexico) et de
Sanofi-Aventis, en présence du Dr. José Ángel Córdova Villalobos,
Ministre de la Santé du Mexique.
Les perspectives du marché pharmaceutique à l'horizon 2012
s'assombrissent. Le retournement de l'économie va fortement aggraver
le déficit de l'Assurance-maladie en 2009 et 2010, rendant impossible
le retour à l'équilibre promis pour 2012. Dans ce contexte, les
mesures de régulation des dépenses pharmaceutiques, tant en ville qu'à
l'hôpital, se durcissent et pèsent sur les ventes de médicaments dans
l'Hexagone. La croissance en 2008 a d'ores et déjà marqué le pas, avec
une progression très faible des ventes officinales (+ 1,9 % par
rapport à 2007), sous l'effet conjugué d'une baisse des volumes et
d'un effet prix négatif.
Donc, alors que la « crise mondiale » a fortement touchée l'industrie
pharmaceutique, voir plus haut, cet industrie chercherais donc à
retrouver un nouveau niveau mondiale et de se faire d'autres part de
marché. LE CONTRAT PASSER PAR SANOFI AVENTIS TOMBE ALORS TRES BIEN !
C'est même inespéré !! Mais s'ils savaient ?
Comment les entreprises pharmaceutique préparent une campagne de «
vaccination globale au niveau mondiale ».


VIRUS H1N1 : UNE ARME BIOLOGIQUE DE DESTRUCTION MASSIVE ! ! ! !
Autriche : Grippe A : Jane Burgermeister - Journaliste
La plainte déposée par la Journaliste autrichienne, Jane Burgermeister
auprès du FBI.
Vous trouverez dans cet article tous les éléments relatifs à la
plainte déposée auprès du FBI par la Journaliste Autrichienne, Jane
Burgermeister, et les moyens de vous informer sur le vaccin de la
Grippe A et éventuellement de vous mobiliser pour lutter pour une
juste cause : la nôtre et celle de l'humanité.
Son adresse mail personnelle si vous souhaitez lui apporter votre
soutien (écrivez-lui en allemand via "google translation") :
jmburgermeister@gmail.com
Merci de diffuser largement ces informations autour de vous et
d'enregistrer les copies des plaintes et actes.
Plainte déposée auprès du FBI à télécharger ci-dessous :
Evidence of the Use of Pandemic Flu to Depopulate USA
Dr Marc Vercoutère (médecin homéopathe):
" Refusez tout vaccin contre la grippe, privilégiez le chlorure de
magnésium et la vitamine C
Vaccins : mais alors on nous aurait menti !
ls sont inefficaces, nous rendent malades, détruisent notre immunité
naturelle, mais... ils sont obligatoires
par Maître Jean-Pierre JOSEPH
Edition Poche Vivez Soleil
Est instructeur fédéral de karaté, diplômé de la Fédération française
de karaté (F.F.K.A.M.A.), membre du jury des grades de la ligue
Dauphiné-Savoie de la F.F.K.A.M.A.
Est parti en urgence en République d'Haïti en janvier 2001, et a été
le 1er avocat français à être autorisé, depuis l'indépendance de 1804,
à plaider devant une Cour d'Assises haïtienne, pour défendre le
navigateur grenoblois, accusé de meurtre sur sa femme qui, en fait,
s'était suicidée. Après une semaine d'un procès médiatisé (TF1, Le
Figaro, Paris-Match, etc.), à la suite duquel le navigateur fut
acquitté, Jean-Pierre JOSEPH, qui n'avait aucun vaccin et qui n'a pris
aucun traitement préventif contre le paludisme, est revenu criblé de
piqûres de moustiques, et n'a pas été malade.
Cet ouvrage se contente de rassembler des dizaines de citations
scientifiques et professionnels de la santé. Aucun d'entre eux ne
faisant partie de la moindre secte, ce livre ne contient donc, ni
procédé hypnotique, ni virus décérébrant. Il peut être lu sans
crainte...
DE GRAVES INTERROGATIONS :
Les vaccins contiennent des l'hydroxyde d'aluminium à des doses 30
fois supérieurs au seuil toxique, du sérum de veau, des cellules
cancérisée, et des dérivés du mercure. Ils sont responsables de
milliers de maladies neurologiques graves, sclérose en plaques,
encéphalites, morts subites du nourrisson... Le personnel des
hôpitaux, les rares fois où il fait la relation de cause à effet entre
le vaccin et la maladie, aurait la consigne de ne rien dire aux
familles.
Depuis 1994 les substances d'origine bovines sont interdites dans les
produits pharmaceutiques. Or, le B.C.G. est fabriqué à partir de la
bile de boeuf. Ainsi la Loi nous oblige à administrer à nos enfants
des produits qu'elle interdit par ailleurs !... Bien plus, la Loi
oblige avant tout acte vaccinal, de prendre « toutes les précautions
», c'est-à-dire de procéder à) des examens destinés à dépister
d'éventuels risques graves pour chaque individu. Mais seuls les
vétérinaires le font pour les animaux !...
Ces risques valent-ils la peine d'être courus ? Depuis un siècle, à
chaque campagne de vaccination, tant en Europe qu'en Afrique ou en
Asie, le nombre de cas de la maladie que l'on combattait s'est
toujours multiplié par 4, voire par 6 dans les mois qui ont suivi
(variole aux Philippines en 1918, polio en France en 1956, récemment
méningite en Afrique, etc.). Pourquoi nous l'a-t-on caché en nous
faisant croire le contraire ? Quand les épidémies s'arrêtent (comme
elles l'ont toujours fait dans l'histoire de l'Humanité), l'on crie
alors victoire, en attribuant cela au vaccin. Si au Moyen Âge, au plus
fort des épidémies de peste et de choléra, un alchimiste avait
distribué de la bave de crapaud à toute la population, lorsque celles
ci se sont arrêtées (car toutes les épidémies se sont arrêtées
naturellement) tous les survivants auraient cru avoir été sauvés grâce
au produit !
Le chien qui avait mordu le petit alsacien « sauvé » de la rage par
Pasteur, avait aussi mordu tout la famille, qui n'a été ni vaccinée,
ni malade. Mais alors, on nous aurait menti ? Mais pourquoi donc ?
Quel hasard ! La France est un des plus gros pays producteurs de
vaccins du monde ! 11 pays en Europe ont abandonné l'obligation
vaccinale. En France, on ne connaît même par cette information. Comme
par hasard chez nous, le vaccin est une religion (ensemble de «
vérités » que, par définition, l'on s'interdit de vérifier). François
Mitterrand n'a-t-il pas dit : « La santé des Français est une
marchandise qui se vend... ».
AVANT-PROPOS
Il y a encore quelques années, je ne connaissais rien du tout à la
question des vaccinations : certes, le simple fait de n'avoir été
vacciné que contre la variole, générait chez moi une inquiétude
permanente, tempérée par le fait qu'au cours des 30 ans pendant
lesquels j'ai étudié, puis enseigné les arts martiaux, les experts
asiatiques que j'avais pu rencontrer, m'avaient toujours indiqué qu'il
fallait se méfier des vaccins, mais je ne savais pas pourquoi. Ils
ajoutaient que dans les arts martiaux traditionnels, l'être humain est
capable de maintenir un taux vibratoire élevé, et ne craint donc pas
les maladies.
J'avoue qu'à l'époque, j'étais un peu sceptique et j'eus de grandes
hésitations, lorsque j'entendis parler d'un « danger de contamination
par l'hépatite B ». Un jour, je fus amené à défendre un groupe
d'anciens universitaires grenoblois, qui s'étaient retirés à la
campagne afin d'appliquer une méthode vieille de plusieurs
millénaires, leur permettant de produire de l'agriculture biologique
géante à haut rendement, sans engrais chimiques, sans pesticides ni
insecticides. Cette méthode qui ne coûtait rien permettait d'avoir la
même rentabilité à l'hectare que si l'on utilisait massivement des
engrais chimiques. Mais c'était du bio, et vraiment délicieux ! Cette
expérience quasi-unique en Europe aboutit immédiatement au fait que ce
groupe fut classé secte, fut l'objet de procédures judiciaires
hallucinantes, de reportages de télévision honteusement truqués, de
faux témoignages, à tel point que j'ai écrit Les radis de la colère
(Éd. Louise Courteau). Cet ouvrage mentionne, notamment, une affaire
que j'appelle « le vrai-faux tétanos », dans laquelle un hôpital,
harcelé par la « psychose imbécile anti-sectes » qui sévissait à ce
moment-là, a diagnostiqué un tétanos, alors qu'il est clair que
l'enfant avait simplement fait une grosse réaction allergique à une
piqûre de tique. Certains journalistes, qui avaient écrit sans savoir
qu'un enfant « était mort du tétanos dans la secte », furent étonnés
de le voir gambader par la suite, dans les prés... Mais ces
journalistes ne manifestèrent aucun étonnement, en marchant sur des
fraises qui poussaient sous des flocons de neige, ou en voyant des
plantes qui ne poussent habituellement que dans les régions
tropicales. Mais ce qui m'étonna le plus fut tout d'abord l'absence
totale des mouvements écologistes au soutien de ces gens là, qui, dans
la région Rhône-Alpes, faisaient de la véritable écologie, à la
différence de ceux qui en parlent, mais qui n'en font jamais. Je n'ose
pas croire qu'eux aussi, aient pu adhérer à la psychose imbécile... Le
2e objet de mon étonnement fut ensuite qu'à l'occasion de cette
affaire de « vrai-faux » tétanos, je découvris que non seulement le
problème des vaccins était très controversé, mais qu'en plus
l'existence même de la controverse était totalement absent de tous les
débats concernant la Santé Publique. 40 ouvrages étaient déjà
accessibles à tous, dans les librairies ou dans les FNAC, et un
silence total recouvrait notre pays, comme si ce sujet était interdit.
Alors je décidais de mettre les pieds dans le plat, en rassemblant des
citations extraites de ces 40 ouvrages. Sachez que je n'ai rien
inventé. Je me suis contenté de rassembler tout ce qui a été écrit sur
ce sujet par des dizaines de professionnels de la santé. Vous verrez
que finalement, ce sont eux qui mettent les pieds dans le plat, pas
moi. Quoique...
J'ai toujours mis les pieds dans le plat, lors de ma scolarité : je ne
le faisais pas exprès, mais je répondais naïvement aux reproches, et
ce que je disais déclenchait souvent la consternation, voire la
colère. Un jour le médecin scolaire, voyant que je n'étais pas vacciné
contre la polio (dans ma vie, je n'ai eu qu'un seul vaccin :
l'antivariolique), me dit : « Libre à toi d'attraper la maladie, mais
ce qui est grave est que tu risques de contaminer tes camarades... ».
Très naïvement je lui demandais : « Comment pourrais-je les
contaminer, puisqu'ils sont vaccinés ? ». Ce n'est pas la paire de
claques que j'ai reçue à ce moment-là qui m'a marqué le plus, mais son
air consterné, presque effrayé. Je crois que c'est ce jour-là que j'ai
décidé qu'à l'avenir je serai toujours insolent, d'autant plus que,
les années suivantes personne ne me reparla des vaccins... Toutefois,
ce n'est que 40 ans plus tard que j'ai compris pourquoi mes camarades
qui ont eu la polio, étaient pourtant vaccinés, et pourquoi je ne l'ai
pas eu, alors que je ne l'étais pas.
Quand j'étais en Première, au Lycée de Guebwiller, un prof
d'Histoire-géo, un comme on n'en trouve plus de nos jours, un qui nous
faisait réellement aimer ce qu'il enseignait, nous précisa un jour : «
De nombreuses vérités sont fausses. Mais ceux qui le disent sont
pourchassés, même en Démocratie. Au début du siècle, l'Académie de
Médecine déclarait qu'au-delà de 100 km/h. un organisme humain ne
résisterait pas. C'était une Vérité, et tout étudiant en médecine
prétendant le contraire avait zéro. L'Académie des Sciences indiquait
également que le plus lourd que l'air ne pourrait jamais voler. Il
était donc inutile de donner des crédits à la recherche sur les «
aéroplanes » (futurs avions). L'avenir était les ballons et les
dirigeables. Enfin l'électricité ne serait qu'un lamentable gadget et
ne servirait jamais à rien. Souvenez- vous de cela, et sachez que ces
imbéciles ont aujourd'hui des successeurs aux mêmes postes, et qui ont
le même talent... ».
Aujourd'hui, des lois spéciales interdisent de parler de tel ou tel
sujet, ou de remettre en cause certaines vérités historiques. Pourquoi
avoir eu besoin de textes, alors qu'une démocratie devrait savoir
gérer l'expression de toutes les opinions ?
J'ai bien peur que dans peu de temps, l'on n'ait même plus le droit
d'écrire un livre comme celui que vous avez actuellement sous les
yeux. Déjà l'on n'a pas le droit, par exemple, d'inciter ses
concitoyens à ne pas payer ses impôts, ou ses cotisations sociales. On
n'a pas le droit de déclarer publiquement que l'on est pour la
consommation de drogue. Comme si ceux qui écoutaient les rares qui ont
encore quelque chose à dire, n'étaient plus majeurs. Après tout c'est
peut -être vrai. L'on est en train de faire de nous des veaux. Mais le
jour où je n'aurai même plus le droit d'écrire un tel livre, j'irai
demander l'asile politique soit en R.F.A. (ce qui devrait m'être
accordé facilement, vu que mon grand-père fut sujet allemand jusqu'en
1918, année où la France récupéra l'Alsace-Lorraine), soit en
République d'Haïti, où, lors de mon séjour, les étudiants en Droit,
dont une délégation était venue me rencontrer me déclarèrent : « La
différence entre nos républiques, que vous appelez bananières, et les
vôtres, est que chez nous le principe est « ferme ta gueule, tu n'as
pas le droit de parler. .. » ». Cela a le mérite d'être clair. Chez
vous le principe est « Cause toujours... ».
« Une population malade rapporte plus d'argent au système dit de santé
publique qu'une population en bonne santé »
INTRODUCTION
Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies
neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers)
accusent le vaccin contre l'hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé
Publique en otage, Ed. Albin Michel). Des plaintes pour empoisonnement
et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées,
notamment à l'encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir
un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement
centralisée chez un Juge d'Instruction à Paris. Malheureusement, une
étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont
concernés, et pas seulement celui contre l'hépatite B.
Alors que la quasi-totalité des pays d'Europe a supprimé les vaccins
obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a
maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de
tous bords, criant à l'empoisonnement collectif, devant leur
dangerosité, et surtout leur inefficacité.
Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde
entier, tentent d'alerter les pouvoirs publics pour leur donner des
informations extrêmement graves concernant les vaccins : - Des
épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d'enfants
vaccinés contre la coqueluche, - Des épidémies de polio dans le monde
entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement
vaccinées, - En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes
de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. ... Des scientifiques
du monde entier semblent dire aujourd'hui : - Que les produits
appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces, - Qu'ils
seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques,
encéphalites, méningites, maladies neurologiques : Fabriquée avec du
sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l'hydroxyde
d'aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de
toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général
de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à
l'apparition du Sida. - Que souvent, même, ils nous transmettraient
les maladies qu'il sont censés prévenir ! - Que l'on nous aurait menti
depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuse, en nous
faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les
épidémies.
Or, il semblerait que l'arrêt des épidémies n'ait rien à voir avec les
campagnes de vaccination.
Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956,
année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a
connu plus de 4000 cas.
Personne, d'ailleurs, n'est capable d'expliquer pourquoi les épidémies
de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de
1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans
vaccin, et sans décimer toute l'humanité...
Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et des
ouvrages suivantes :
La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,
La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,
Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed.
Louise Courteau,
Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,
Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,
La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,
Au cœur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,
Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,
Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,
Vaccinations : l'Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,
Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,
Pour en Finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,
La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,
La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,
Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,
On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,
Vaccination, Social Violence ans Criminality, North Atlantic Books,
Berkley 1990,
A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing
group, 1991,
Les Vérités indésirables,
Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La
Vieille Taupe, 1989,
L'intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,
La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,
Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon
Press Corp, New Yorl, 1996,
L'intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,
Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC
National Academy Press, 1991,
Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,
La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,
Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,
Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,
Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,
La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed.
de l'Aronde, 1997,
LA catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l'Ouest, 1950,
Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,
Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),
Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles
de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),
Déjà vacciné ? Comment s'en sortit ?, (Dr A. BANOIS - Sylvie SIMON),
Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,
Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed.
Louise Courteau,
Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES,
préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,
Nous te protègerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,
La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique
médicale infantile), Ed. Princeps,
La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,
Vaccin Hépatite B : Les coulisses d'un scandale, (Sylvie SIMON et Dr
Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.
Aucun de ces ouvrages, largement diffusés tant en France qu'à
l'étranger, n'a fait l'objet du moindre procès, ni même du moindre
démenti. La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages,
conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle
les enfants sont victimes d'un empoisonnement collectif, et qu'il est
plus que temps de réagir.
En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des
pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu'ils
considèrent être un véritable empoisonnement collectif n'ayant pour
but que le profit, et surtout pas la SANTE... PUBLIQUE.
Ces médecins dénoncent le fait que la quasi-totalité de leurs
confrères est dans l'ignorance totale de ces informations, car
l'information médicale en France passe entièrement par les
laboratoires pharmaceutiques.
Ces médecins indiquent également qu'une vaccination n'est pas un acte
banal, et qu'un certain nombre de précautions sont, de toutes
manières, obligatoires (arrêté du 28 février 1952).
Il faut en effet, préalablement à tout acte vaccinale, que le sujet
fasse l'objet d'un bilan clinique et biologique à savoir : a)
Iconogramme complet, dosage de l'urée b) Lipidogramme c) Bilan
endocrinien d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux
vaccinations éventuelles déjà subies e) Test de dépistage du Sida et
des différentes hépatites f) Electrophorèse et immunophorèse des
protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités
ou incapacités éventuelle de l'organisme à fabriquer les anticorps g)
Bilan radiologique :
Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu'il y a au moins une
dent dévitalisée.
Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.
Or, jamais un seul de ces teste n'est proposé aux enfants, ce qui
procède d'une négligence criminelle.
Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10
ans, aucun scientifique n'est encore venu les contredire, les
vaccinalistes se content de répéter, comme une litanie religieuse, que
les vaccins auraient enrayé les épidémies.
Déjà le 5 décembre 1957, 101 Députés Socialistes déposaient une
proposition de Loi tendant à abroger l'obligation vaccinale. Parmi eux
MM. DEFFERRE, CAPDEVILLE, PROVO, SAVARY.
La France est le seul pays d'Europe à avoir 4 vaccins obligatoires.
Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de
tuberculose et de tétanos, mais c'est le 1er pays producteur de
vaccins du monde...
En outre, certaines vaccins, obligatoires en France sont interdits
dans d'autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple) vu le
nombre de victimes paralysées à vie qu'ils ont faits.
L'on sait pourquoi aujourd'hui lorsque les Américains ont entrepris,
en 1918, de vacciner les habitants des Philippines contre la variole,
le taux des personnes atteintes est alors passé de 10% de la
population, à 65% en quelques mois. L'on sait également (par les
écrits des collaborateurs de PASTEUR) que le chien qui avait mordu le
petit Jospeh Meister, vacciné par PASTEUR, avait également mordu toute
la famille Meister qui n'a été ni vaccinée, ni malade. L'on sait que
lorsque les Américains se sont rendus compte, dans les années 1960,
que 75% des gens atteints de la polio, étaient correctement vaccinés
(Vaccin Salk), les symptômes officiels de la polio ont été modifiées,
ce qui fait que tous les nouveaux cas allaient être appelées :
encéphalites, méningites, etc. Ce qui a donné l'illusion que le vaccin
avait enrayé l'épidémie.
Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd'hui de nous
retrancher derrières des obligations de réserve, faute de quoi nous
serions obligés de constater que le procès PAPON n'a servi à rien.
(Rappelons-nous Maurice PAPON, à qui la Cour d'Assises de Bordeaux a
reproché d'avoir, en sa qualité de Préfet de Police pendant
l'occupation allemande, fait déporter des centaines de juifs, et qui,
pour sa défense, a dit qu'il n'avait fait qu'appliquer la Loi...).
Tout citoyen a, aujourd'hui, à partir du moment où il sait, le devoir
de prendre une position.
Les conséquences que l'on peut tirer de l'ensemble de ces informations
sont les suivantes :
Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus
ou parasites qui, inoculés à un individu, lui confèrent une immunité
contre le germe correspondant ».
Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des
parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas
l'immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd'hui que
de nombreux enfants vaccinés, ont néanmoins contracté la maladie.
Les substances, en outre, sont toxiques, puisqu'elles entraînent des
effets secondaires graves, parfois mortels.
Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », au sens
scientifiques du terme.
Le fait de refuser d'administrer des produits inefficaces et
toxiques à des enfants ne peut donc s'assimiler à une privation de
soins, ou une mise en danger de la vie d'autrui.
Bien au contraire, le fait d'imposer l'administration de produits
toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger
de la vie d'autrui, et peu, à long terme, constituer le crime
d'empoisonnement ou administration de substances nuisibles.
DES FAITS (ET NON PAS DES THEORIES) CONCERNANT LES VACCINS
Cet ouvrage se contente de rassembler simplement des dizaines de
citations (en donnant les références) de scientifiques et
professionnels de la santé.
Tous les ouvrages, dont sont extraites les nombreuses citations
formant l'essentiel de ce document, se trouvent très facilement en
librairie, à la FNAC, etc.
Aucun d'entre eux n'a engendré le moindre procès, ni même le moindre démenti.
« Celui qui ne gueule pas la Vérité, quand il connaît la vérité, se
fait complice des menteurs et des faussaires » (Charles Péguy)
« L'une des nouvelles religions en France est le vaccin : en effet,
bien que les Français soient réputés cartésiens, et bien que tous les
pays voisins aient progressivement abandonnée l'obligation vaccinale,
quiconque en France, se contente simplement de s'interroger sur
l'efficacité des vaccins, déclenche des hurlements hystériques. Il
s'agit donc bien d'une religion, dans laquelle des milliers de
personnes qui se prétendent intellectuelles, ou même scientifiques,
défendent des « vérités » qu'elles n'ont jamais vérifiées elle-mêmes.
Quant à ceux qui font appliquer l'obligation légale vaccinale, il
semble qu'aucun d'entre eux n'ait entendu parler du procès de Maurice
Papon. »

mardi 21 juillet 2009

Appel de Jean Ziegler contre les biocarburants

Dans une interview à Libération en octobre 2007, le rapporteur spécial des Nations Unies pour le droit à l'alimentation lançait un avertissement au monde à propos des biocarburants, les qualifiants de "crime contre l'humanité".


"Si le plan de Lula et de Bush sur les agrocarburants se matérialise, ce sont 26 millions d'hectares de terres vivrières qui seront affectées à la production de bioéthanol et de biodiesel. La faim va augmenter de façon effroyable. Pour faire un plein de 50 litres avec du bioéthanol, il faut brûler 232 kg de maïs. Avec ça, un enfant zambien ou mexicain vit une année. Pour toutes ces raisons, je demande que le transfert de cultures vivrières vers des cultures industrielles d'agrocarburants soit interdit pendant au moins cinq ans par les Nations Unies. Dans ce délai, la science va progresser et il sera possible d'utiliser des déchets agricoles ou les parties non utiles de la plante pour faire rouler les voitures. Mercedes a déjà un programme avancé, qui consiste à planter de la jatropha, un buisson poussant sur des terres arides et qui n'entre pas en compétition avec des plantes alimentaires. (...)

La fabrication de bioéthanol soulève d'autres problèmes que la seule sûreté alimentaire de millions d'individus. C'est un agrobusiness qui brasse des milliards de dollars, réservés à de grands groupes industriels. L'énergie finale est peut-être plus propre, mais quand on analyse le cycle de vie du biocarburant, pour le fabriquer, il faut tellement d'eau et d'énergie que les avantages s'amenuisent. Il existe de nombreuses autres critiques vis-à-vis de ces agrocarburants, mais je me concentre sur ce qui est absolument catastrophique, qui menace une partie de l'humanité et qui est déjà en marche.

Le prix du blé au niveau mondial a doublé en quelques mois, celui du maïs au Mexique a plus que quadruplé en deux ans. Le prix de la nourriture, de la terre augmentent de façon extraordinaire, et donc l'expulsion des paysans s'accélère.

En Occident, la société civile se mobilise de plus en plus contre les sociétés multinationales qui dominent une large part de la production et de la distribution des aliments. Il faut que les gens sachent qu'une opposition aux agrocarburants existe et qu'ils doivent l'appuyer. Chacun est responsable de tout, devant tous. Pendant le temps de cet entretien, des dizaines d'enfants sont morts. La responsabilité de chacun est engagée devant ce crime contre l'humanité."

Le patron de Nestlé contre les biocarburantsLe recours accru aux matières premières alimentaires pour la production de biocarburants met en péril l'approvisionnement alimentaire de la population mondiale, a averti le patron de Nestlé, Peter Brabeck, dans une interview au journal suisse NZZ am Sonntag.

"Si l'on veut couvrir 20% du besoin croissant en produits pétroliers avec des biocarburants, comme cela est prévu, il n'y aura plus rien à manger", a déclaré le PDG du premier groupe alimentaire mondial.
"Accorder d'énormes subventions pour les produire est inacceptable moralement et irresponsable", a ajouté Peter Brabeck, estimant que les millions de tonnes de maïs consacrées aux biocarburants sont autant en moins pour le secteur alimentaire.

Alors que ce phénomène tire vers le haut les prix du maïs, du soja et du blé, les terres cultivables deviennent rares et l'eau est elle aussi menacée, a déclaré M. Brabeck, estimant que pour produire un litre de bioéthanol il faut 4.000 litres d'eau.

lundi 20 juillet 2009

Grippe A (H1N1), les choses se précisent...


Le ministère français de la santé s'attend à une intensification à l'automne de l'épidémie de grippe A (précédemment appelée "grippe porcine" ou H1N1).
Le gouvernement a commandé 100 millions de doses de vaccin pour un montant de 1 milliard d'euros auprès des multinationales pharmaceutiques Novartis (dont le PDG était présent à la réunion du Groupe de Bilderberg en mai 2009), Glaxo, et Sanofi-Aventis (dont le président accompagnait Sarkozy pendant son récent voyage au Mexique).

Mais surtout, le gouvernement envisagerait sérieusement une campagne de vaccination obligatoire pour tous les Français de plus de 3 mois.

Vu l'origine douteuse du virus qui sert de prétexte à cette vaccination, il y a des raisons d'avoir des doutes sur la composition du vaccin.

La grippe A pourrait avoir été conçue et propagée pour justifier l'inoculation massive d'un vaccin contenant des agents mortels à retardement, par exemple des gènes favorisant le développement de cancers, ou des composants radioactifs. C'est le principe de la mort au rats: une fois le poison absorbé, le rat ne meurt que quelques jours plus tard, l'effet retard permettant que sa mort ne rende pas ses congénères méfiants vis à vis de la nourriture empoisonnée afin qu'ils en consomment eux aussi.

On sait depuis longtemps que la réduction de la population mondiale est en tête de "l'agenda" des Maitres du Monde, avec pour objectif 1 milliard d'habitants d'ici 2050.

La "dépopulation" est la solution qu'ils ont retenu pour résoudre les problèmes écologiques et l'épuisement des ressources naturelles à un rythme effréné, sans toutefois renoncer à la société industrielle sans laquelle le capitalisme ne peut plus exister (tout le système s'étant fondé et développé sur la base de la production et la vente de marchandises par ceux qui détiennent le capital.

Il est donc impérieux que les contre-pouvoirs se mobilisent afin de faire réaliser des analyses du vaccin par des laboratoires indépendants. Cet appel s'adresse aussi aux médecins qui auraient la possibilité d'organiser ou de réaliser ces analyses.

Etats-Unis: A quoi vont servir les 600 camps de concentration de la FEMA ?

es camps sont gardés par l'armée sous la direction de la FEMA (Federal Emergency Management Agency, agence fédérale pour la gestion des situations d'urgence). A l'origine, la FEMA avait été créée pour des urgences sanitaires (attentats biologiques, épidémies, ou catastrophes naturelles). Mais plusieurs décrets signés par Bush ont complètement réorienté l'activité et la finalité de la FEMA vers une mission militaire dirigée contre la population civile.

Dans les camps de la FEMA, de grands périmètres grillagés et entourés de miradors semblent destinés à parquer des prisonniers en masse. Il y a aussi des grands hangars en béton avec un système de vannes et de tuyauterie reliée à des réservoirs de gaz. La plupart de des camps sont desservis par des voies ferrées. Il ne manque plus que les trains de prisonniers...

Et justement, les trains existent aussi. Neuf témoins, dans 5 Etats différents, ont pu constater la présence de nombreux wagons de trains vides avec 143 paires de menottes et de chaines à l'intérieur, attachées soit sur les murs, soit sur les parois. La plupart de ces trains sont peints en noir.

Voici une vidéo tournée dans l'un de ces camps. C'est en anglais mais les images parlent d'elles-mêmes.

On peut y voir aussi que le camp est divisé en deux zones, la zone bleue et la zone rouge. Cela se recoupe avec les infos sur les listes rouges et bleues de dissidents et opposants qui seraient arrétés et emprisonnés en 2 vagues de rafles successives dans le plan élaboré par Dick Cheney pour faire basculer les Etats-Unis dans un régime totalitaire, à l'occasion d'une instauration de la loi martiale.

L'utilisation de ces camps est devenue moins probable après l'élection d'Obama. Après sa décision de fermer Guantanamo et de mettre fin à la torture, les Etats-Unis semblent à nouveau sur le chemin de la démocratie, mais pour combien de temps...?

david bidart vous a invité à voir "CAMP FEMA = EXTERMINATION DE MASSE !!! URGENT !!!" sur Dailymotion

Bonjour,

david bidart wants to share the video "CAMP FEMA = EXTERMINATION DE MASSE !!! URGENT !!!" with you on Dailymotion.

Here is his/her personal message:
contrôle de la population humaine ??
600 camps d'emprisonnement ont été construits aux Etats-Unis par l'administration Bush

Please click on the following link to watch the video:
http://www.dailymotion.com/video/x8pzsk_camp-fema-extermination-de-masse-ur_news

To change your email notification settings, please click here:
http://www.dailymotion.com/profile/notifications

Cordialement,

--
L'équipe de Dailymotion

vendredi 17 juillet 2009

donjondindon vous a envoyé une vidéo : "911 Case Study: Pentagon Flight 77"

YouTube Centre d'aide | options e-mail | signaler un spam

donjondindon a partagé une vidéo avec vous sur YouTube :

A short animation with video and photos illustrating the final moments of Flight 77 on September 11, 2001.
© 2009 YouTube, LLC
901 Cherry Ave, San Bruno, CA 94066

mercredi 15 juillet 2009

Au sein de l'océan primordial apparut la terre émergée. Sur celle-ci, les Huit vinrent à l'existence. Ils firent apparaître un lotus d'où sortit Rê, assimilé à Shou. Puis il vint un bouton de lotus d'où émergea une naine, auxiliaire féminin nécessair

MONOTHEISME POLYMORPHIQUE

 

La culture de l'Égypte antique peut paraître très homogène de prime abord, mais il existait, au moins sur les questions religieuses, de grandes variations géographiques. Ainsi, ce n'est pas une, mais plusieurs cosmogonies qui coexistaient dans les différentes parties du royaume. Les plus connues sont celles d'Héliopolis, la plus ancienne, puis celle d'Hermopolis, de Thèbes et de Syène.

Les cosmogonies se basent toutes sur la même croyance d'un principe créateur, mais chaque nome voit dans son dieu tutélaire, le démiurge à l'origine de cette création. Ainsi les Héliopolitains voient en Rê ou Râ le fondateur du monde, et les Hermopolitains Thot, etc.

Ce système s'explique par le fait que pour les Égyptiens, chaque démiurge local n'est qu'une manifestation d'une même puissance divine sous une multitude de formes. C'est ainsi qu'on définit parfois la religion égyptienne comme « un monothéisme dans un polythéisme » ou un monothéisme polymorphique.  C´est pour cette raison que  le pharaon Akhenaton voulut concrétiser la fusion de ce syncrétisme dans un dieu universel, Aton.

La cosmogonie la plus répandue est celle d'Héliopolis qui a pour créateur un démiurge solaire (Rê sous l'une des ses formes) et donne une généalogie divine descendant jusqu'au dieu pharaonique Horus.

 LE NOUN

Avant la naissance des dieux, il n'existait qu'une étendue aqueuse et inerte appelée le Noun. L'événement marquant fut l'apparition de la première terre qui émergea des eaux du Noun. Cette butte primordiale permit à la première divinité de venir au jour, sous la forme d'un oiseau, faucon, héron, qui se posa sur le tertre.

La première divinité jouissait de plusieurs pouvoirs divins, comme Hou " la parole réalisatrice", Sia  " la conception intellectuelle" et Heka " la magie". Grâce à ces pouvoirs, elle créa l'ordre à partir du chaos. L'ordre divin était personnifié par la déesse Maât, fille du dieu soleil. Le mot maât signifiait aussi "justice", "vérité" et "harmonie".

Voyant qu'elle était seule, la première divinité créa des dieux et des hommes à sa propre image et un monde pour qu'ils puissent l'habiter. Les divinités seraient nées de la sueur du dieu Soleil et les êtres humains de ses larmes.

Même après la création du monde, Noun continue d'exister pour revenir un jour, le détruire et recommencer le cycle. Après la création, Noun a joué un rôle dans la destruction de l'humanité quand les hommes n'ont plus respecté et n'ont plus obéi à Rê dans sa vieillesse. Rê a rassemblé tous les dieux et déesses, y compris Noun. Noun a proposé que Rê jette son œil pour détruire l'humanité. Et L'ŒIL DE RE, sous la forme de la déesse Sekhmet( lion) voyage à travers l'Égypte tuant tous les hommes.

Noun a protégé Chou et Tefnout à leur naissance et leur a maintenu des puissances démoniaques du chaos (représenté comme serpents).

Il est considéré comme un concept plutôt qu'un dieu. Il est l'océan qui a fait la Vie et qui fera la Mort ; sans créateur, il s'étend autour du monde. Tous les mythes de création ont une chose en commun, ce Noun, d'où naquit le dieu-créateur.

Dans l'Égypte antique, il existait quatre divinités créatrices principales, Amon-Rê, Atoum, Khnoum et Ptah. Un culte important était rendu à chacun de ses dieux
 

qui est El (dieu)

El est un mot des langues sémitiques du groupe nord-ouest, signifiant "dieu". Il peut avoir pris différentes significations selon l'endroit et le lieu où il est attesté, et il a notamment servi à désigner un dieu précis, qui a occupé une place importante dans différents panthéons.
 

Dans les régions écrivant l'akkadien cunéiforme au cours du IIè millénaire, on trouve des noms de personnes et des mentions de 'El, Ilu(m) en akkadien. Le terme est en fait écrit par l'idéogramme DINGIR, servant de déterminatif pour la divinité. Quand on a un nom amorrite, on lit 'El, comme dans toutes les langues sémitiques occidentales. Avant ces attestations, qui datent du début du IIè millénaire av. J.-C., on est peut-être déjà en présence d'une forme ancienne du terme El dans les textes de la bibliothèque Royale d'Ebla (site archéologique de Tell Mardikh, en Syrie) du XXIVè siècle av. J.-C., où on trouve un dieu Ilu (lecture incertaine), assimilé au dieu sumérien Enlil. Ce nom se trouve à la tête d'une liste de dieux, comme ancêtre des dieux ou père de tous les dieux .

On ne sait pas vraiment ce qui se trouve derrière ces mentions d'un "dieu". Peut-être s'agit-il d'une référence au concept de divinité en général, à une divinité personnelle ou familiale (ilu(m) désignant aussi en akkadien une divinité protectrice) , ou bien à une divinité particulière, Addu ou Dagon.

Vers le début du deuxième millénaire av. J.C, El est présenté par les textes de la mythologie ougaritique comme le père du panthéon local . Il se fait cependant supplanter par Baal (Hadad) (son fils?), le dieu de l'Orage. A Ougarit, El aurait donc été alors une divinité en perte d'influence, qui se serait fait dominer par les dieux de la jeune génération.

Sa parèdre (déesse consort) etait Asherat. D'après certains textes El est le père des dieux Hadat/Baal, Yamm (la mer) et Mot (la mort).

El est appelé dans les tablettes ougariennes soit "Toru El" (le dieu taureau), soit "Batbyu binwati", le créateur de toute créature, soit "Abu bani ili", le père des dieux, soit "Abu adami", le père des hommes. Il est "qaniyunu ôlam", le créateur éternel, ce mot "ôlam" réapparaissant dans la Bible, dans sa forme hébraïque El Ôlam, pour désigner le Dieu Eternel (Génèse 21.23)

Il est possible qu'il faille voir dans le dieu El d'Ougarit une épithète désignant le dieu Dagon, dieu de la fertilité des panthéons sémitiques occidentaux, car Baal est tantôt présenté comme fils de Dagan (le plus souvent), et comme fils d'El. De plus, cela expliquerait pourquoi Dagan disposait d'un temple important à Ougarit tout en étant absent des textes mythologiques, alors qu'on n' a pas découvert de temple dédié à El à Ougarit.

 

El est également connu par un mythe hittite d'origine cananéenne, Elkunirshag et Ashirat. El y porte le nom d'Elkunirshag, et là aussi sa parèdre est la déesse Asherat. Ce texte rapporte lui aussi la rivalité entre El et Baal. Son état fragmentaire ne nous permet pas de bien voir le déroulement du récit. Au début, Asherat tente de séduire Baal, qui repousse ses avances. Devant cet échec, elle le calomnie auprès de El, et tous les deux s'unissent pour le châtier. Anat vient ensuite au secours de Baal, et la suite du récit est inintelligible. Il a en tout cas le mérite de nous montrer l'existence d'autres mythes relatifs aux divinités cananéenns en dehors d'Ougarit.
 
L'Épopée d'Atrahasis ou « Poème du Supersage », rédigée en langue sémitique akkadienne et datant probablement du XVIIIe siècle av. J.-C., est une sorte de compilation des mythes traditionnels mésopotamiens de la Création et du Déluge. Il est, en particulier, à rapprocher du mythe sumérien d'« Enki et Ninhursag ». Il se compose de 1 200 vers environ.
 
Dagon, forme ancienne Dagan, est un important dieu des populations sémitiques du Nord-Ouest. Il est le dieu des semences et de l'agriculture et fut révéré par les anciens Amorrites, les habitants d'Ebla, d'Ougarit et fut un des dieux principaux des Philistins. Très tardivement dans son histoire, à partir du IVe siècle après J.-C., on le trouve représenté sous la forme d'un poisson (dag en hébreu).
 
 

La Bible mentionne la présence de statues de Dagon dans le camp des Philistins (principal ennemi du peuple hébreu à l'époque des Juges). L'histoire se passe suite à la prise par les Philistins de l'arche d'alliance (ou arche de l'alliance).

« Les Philistins prirent l'arche de Dieu, et ils la transportèrent d'Ében Ézer à Asdod. Après s'être emparés de l'arche de Dieu, les Philistins la firent entrer dans la maison de Dagon et la placèrent à côté de Dagon. Le lendemain, les Asdodiens, qui s'étaient levés de bon matin, trouvèrent Dagon étendu la face contre terre, devant l'arche de l'Éternel. Ils prirent Dagon, et le remirent à sa place. Le lendemain encore, s'étant levés de bon matin, ils trouvèrent Dagon étendu la face contre terre, devant l'arche de l'Éternel; la tête de Dagon et ses deux mains étaient abattues sur le seuil, et il ne lui restait que le tronc. C'est pourquoi jusqu'à ce jour, les prêtres de Dagon et tous ceux qui entrent dans la maison de Dagon à Asdod ne marchent point sur le seuil. »
    — La Bible, Livre de Samuel, chapitre 5, versets 1 à 5

 

Baal ou Ba'al (hébreu : בַּעַל, בָּעַל, Báʿal, Báʿal, Báʿal, qui signifie seigneur) — Bēl en Akkadien et בעלת Baʿalat (phénicien) ou בַּעֲלָה (Baʿalāh, en hébreu) au féminin — est un dieu phénicien qui, sous les dynasties des Ramsès, est assimilé dans la mythologie égyptienne à Seth et à Montou.

Le terme Baal n'est pas à l'origine religieux : il dénote un être respectable, le seigneur ou le maître, parfois l'époux. De nombreux noms de rois sont donc précédés de cette particule. Le mot n'était d'ailleurs pas utilisé qu'à des fins honorifiques ; l'exemple ba'lāh hāri'šôn (l'ex-mari, le veuf) démontre la portée très large de ce mot. Un rabbin particulièrement reconnu était appelé Ba'al Shem.

Baal est une appellation générique d'un dieu, accompagnée d'un qualificatif qui révèle quel aspect est adoré : Baal Marcodés, dieu des danses sacrées ; Baal Shamen, dieu du ciel ; Baal Bek, le Baal solaire ; et surtout, Baal Hammon, le terrible dieu des Carthaginois. On peut aussi citer Baal-Zebub, qui a donné Belzébuth. Ainsi, chaque région avait son dieu, son Baal local.

Baal est devenu l'appellation punique de nombreux dieux d'origine sémite dont le culte a été célébré depuis le IIIe millénaire av. J.-C. jusqu'à l'époque romaine. C'est notamment le titre donné à Yahvé : Bealiah (plus justement bə''alyâ), qui signifie Yahvé est Baal. Il s'agit du point de vue de la religion hébraïque d'un blasphème, car remettant en cause l'unicité de Dieu, puisque la Bible considère les Baal étrangers comme de faux dieux.

Son nom — le maître ou l'époux — se retrouve partout dans le Moyen-Orient, depuis les zones peuplées par les sémites jusqu'aux colonies phéniciennes, dont Carthage. Il est invariablement accompagné d'une divinité féminine (Astarté, Ishtar, Tanit), même s'il est lui même hermaphrodite, tout comme Ishtar.

Baal comptait un temple important à Émèse (actuelle Homs) en Syrie, dont la grand-prêtrise appartenait à la famille des Bassianides. En 218, son grand-prêtre devint empereur de Rome sous le nom d'Héliogabale, grâce à une parenté avec les Sévères par les femmes. Héliogabale imposa son culte aux Romains.

 
Yahweh est un dieu qui a été honoré dans tout le Proche-Orient. Avec des noms différents mais avec des légendes toujours identiques : Genèse, Adam, déluge, il a été honoré par les différents peuples du Moyen-Orient : Sumériens et Mésopotamiens d'abord puis Cananéen, Ougarites et finalement Juifs sur près de 3 millénaires.
 

Monothéisme vs Polythéisme

Le passage pour le peuple Juif du Yahweh, dieu d'un panthéon polythéiste à un dieu unique définissant le monothéisme, ne s'est pas fait d'un seul coup sur le mont Sinaï, mais est l'objet d'un conflit perpétuel à l'intérieur même du peuple d'Israël entre le monothéisme et le polythéisme. Outre la Bible, qui relate les allées et venues incessantes entre les deux, les papyrus des Juifs d'Éléphantine en Égypte montrent que le culte de Yahweh cohabite encore avec d'autres cultes au 4e siècle av. J.-C.. De même avec la mise au jour d'inscriptions à Kuntillet 'Ajrud et de Khirbet elQôm décrivant l'adoration d'autres dieux en même temps que Yahweh chez le peuple hébreu.

Dieux ayant précédé Yahweh hors de Canaan

Le dieu sumérien Enki - 3000 av. J.-C.

3000 ans avant notre ère les Sumériens racontent dans l'épopée d'Atrahasis et Gilgamesh une histoire proche du jardin d'Éden

Le dieu akkadien Ea - 2500 av. J.-C. Vers l'an 2500 avant notre ère les Akkadiens transformèrent le nom de Enki en Ea. 

Les Akkadiens développent le mythe d'adapa d'où serait issu le mythe du serpent surveillant Ève.

La plus ancienne forme du nom de Yahweh : Yah

Il apparaît 25 fois dans l'Ancien Testament des formes plus anciennes de Yahweh, le raccourci Yah.] Ce dieu original Yah est peut-être une autre forme du nom Ea.

Image Google Earth

L'Atlantide (du grec ancien Ἀτλαντὶς / Atlantìs, sous-entendu νῆσος /
nễsos, « île », c'est-à-dire « île d'Atlas ») est une île qui aurait
été engloutie dans la pré-Antiquité. Elle est mentionnée pour la
première fois par Platon dans le Timée puis le Critias.

Récit du Timée
Le philosophe introduit le mythe dans le Timée, au cours d'un récit
fait par Critias, un riche Athénien disciple de Socrate et parent de
Platon lui-même. Selon Critias, son arrière-grand-père, Dropidès,
s'est vu confier par le législateur Solon (VIe siècle av. J.-C.) une
confidence que lui-même tenait d'un prêtre égyptien du temple de Saïs.
Aux dires du prêtre,
« En ce temps-là, on pouvait traverser cette mer Atlantique. Elle
avait une île, devant ce passage que vous appelez, dites-vous, les
colonnes d'Hercule. Cette île était plus grande que la Libye[22] et
l'Asie[23] réunies. (…) Or, dans cette île Atlantide, des rois avaient
formé un empire grand et merveilleux. »
(trad. Albert Rivaud)
Le prêtre entreprend ensuite de narrer la lutte des Hellènes, menéepar
Athènes, puis d'Athènes seule, contre les soldats Atlantes venusdes
îles « du fond de la mer Atlantique », événements qu'il situe 9000ans
avant son époque. Peu après la victoire, des tremblements de
terresurviennent à Athènes ainsi que dans l'Atlantide.
« Dans l'espace d'un seul jour et d'une nuit terribles, toute
votrearmée athénienne fut engloutie d'un seul coup sous la terre et,
demême, l'île Atlantide s'abîma dans la mer et disparut. Voilà
pourquoi,aujourd'hui encore, cet océan de là-bas est difficile et
inexplorable,par l'obstacle des fonds vaseux et très bas que l'île,
ens'engloutissant, a déposés. »
(trad. Albert Rivaud)
Le Timée donne ensuite une description générale de lacivilisation
atlante, de son expansion, de la guerre contre Athènes etde la
destruction finale de l'Atlantide.
Récit du Critias
Le Critias entre davantage dans les détails, contant l'origine des
habitants (nés de l'union de Poséidon et d'une mortelle, elle-même
fille d'un autochtone) et leurs mœurs, la géographie de l'île, son
organisation sociale et politique. La fin du Critias est perdue. Le
récit s'interrompt au moment où Zeus décide de punir les Atlantes
décadents.
Si la légende nous semble transmise par Platon, celui-ci nel'utilise
néanmoins qu'accessoirement pour illustrer son propos, quiest le
devenir d'Athènes. Il est désormais considéré par un nombrecroissant
de spécialistes de l'antiquité et de Platon que le récit del'Atlantide
n'est qu'une fiction entièrement élaborée par Platon àpartir de
références mythologiques nombreuses et de ses idéespolitiques et
philosophiques (voir infra).
Platon a décrit de façon précise l'Atlantide, qu'il présente commeun
monde idyllique. On peut en résumer les détails comme suit :
L'île est située au-delà des Colonnes d'Hercule,où se trouvent des
fonds vaseux, restes de l'île disparue. Depuis cetteîle, on a accès au
continent situé plus loin. À l'époque de Platon, lesColonnes d'Hercule
auraient été repositionnées de part et d'autre du goulet de l'actuel
Gibraltar[24].
Le roi éponyme de l'Atlantide est Atlas, fils du dieu de la mer
Poséidon et de la nymphe Cleito.
L'île est divisée en dix royaumes gouvernés par Atlas et ses
neuffrères puis par leurs descendants. Chaque royaume possède sa
proprecapitale, copiée sur la cité-mère, capitale du royaume
d'Atlas,dessinée par Poséidon lui-même. La cité-mère est située autour
d'unmont. Elle est circulaire et entourée de fossés navigables.
L'île est riche en ressources naturelles, parmi lesquelles figure un
métal mystérieux, l'orichalque.
La religion des Atlantes était centrée sur Poséidon,le père des
dynasties royales, et incluait le sacrifice annuel d'untaureau que
l'on devait capturer pour ensuite l'égorger sur un autel enforme de
colonne.
Les Atlantes deviennent corrompus au fil du temps. Ils fondent parles
armes des colonies des deux côtés de leur île, conquérant unepartie de
l'Afrique jusqu'à l'Égypte, et de l'Europe jusqu'à l'Italie. Athènes
est le seul État capable de s'opposer à leur expansion.
L'Atlantide, ainsi que l'armée athénienne, ont été engloutis lors d'un
immense raz-de-marée associé à des tremblements de terre, en un jour
et une nuit. Platon ne donne pas d'explication géologique à cette
catastrophe.
Ces événements ont lieu 9 000 ans avant l'époque de Solon.

wikipédia

jeudi 9 juillet 2009

Les 46 étapes de l'accro à Twitter : où en êtes vous ?

1. Tu entends parler de « Twitter ». Tu te moques de ce truc
2. Tu entends parler de Twitter à nouveau, en discutant avec une autre personne. Tu te moques à nouveau
3. Tu entends parler de stars qui sont, paraît-il, sur Twitter. Tu te moques, mais tu te promets de vérifier ça
4. Tu te connectes sur Facebook pour te rassurer
5. Tu t'inscris sur Twitter
6. Tu laisses tomber parce que ça a l'air stupide
7. Tu critiques bien fort ceux qui sont sur Twitter
8. Tu commences à suivre @lancearmstrong, @nk_m, @vincentglad, @Rue89, et puis une autre personne que tu connais pour de vrai
9. Tu écris un tweet du genre : « Je suis en train essayer ce truc, là, Twitter »
10. Tu tentes de te plonger un peu plus dans Twitter
11. Tu remarques l'utilisation fréquente de mots comme « tweet », « Twitter », « Twitterverse », « Tweetie », « Tweetdeck » et un truc appellé « RT »
12. Tu te moques encore, cette fois parce que tu n'y comprends rien
13. Tu dis à tes amis : « J'ai essayé ce truc, là, Twitter, mais j'ai pas compris, et de toute façon, c'est stupide »
14. Tu te connectes sur Facebook parce qu'au moins tu y comprends quelque chose
15. Tu lis un article sur Twitter quelque part
16. Tu te connectes une nouvelle fois sur Twitter
17. Tu évites les mots « tweet », « Twitter », « Twitterverse », « Tweetie », « Tweetdeck », et « ReTweet »
18. Tu réponds quelque chose à @nk_m
19. Tu te maudis d'être tombé dans le piège de la com
20. Tu laisses tomber Twitter pendant quatre mois
21. Tu re reconnectes, juste pour voir
22. Tu envoies un texte plutôt marrant
23. Tu vois apparaître des RT
24. Tu découvres que RT, ça veut dire ReTweet
25. Tu te fixes comme but dans la vie d'être retweeté
26. Tu installes une application Twitter sur ton téléphone
27. Tu arrêtes d'avoir honte quand tu dis : « Il faut que je tweete ça »
28. Tu commences à assister à des trucs juste pour pouvoir les tweeter
29. Tu pries pour être retweeté
30. Tu recharges la page. Recharges encore. Encore. Et encore
31. Tu éteins ton ordinateur
32. Tu rallumes ton ordinateur. tu recharges la page. Encore. Et encore
33. Tu penses en 140 caractères
34. Tu vérifies ton téléphone toute la journée, tous les jours
35. Tu tweetes que tu vérifies ton téléphone toute la journée, tous les jours
36. Tu te fâches avec des gens que tu connais pour impressionner des gens que tu ne connais pas
37. Tu perds du poids parce que tu oublies de manger
38. Tu gardes ton téléphone près de ton lit pour pouvoir consulter Twitter au réveil
39. Tu défends à mort Twitter face à ses détracteurs
40. Quant tu t'écoutes, tu réalises que tu es devenu un de ces types que tu détestais
41. Tu commences à te sentir comme un robot. Tu commences à agir comme un robot
42. Tu fais le serment de quitter Twitter pour ne pas devenir complètement fou
43. Tu repenses à ton serment et tu changes d'avis
44. Tu te dis : « Je pourrais tweeter ça »
45. Tu perçois l'ironie de la situation
46. Tu la tweetes

Traduit de l'américain par @yannguegan

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