Ainsi "ces fauteurs de troubles" furent rassemblés dans des vaisseaux et transportés sur notre planète, sans équipement ou instrument d'aucune sorte que l'on donnait habituellement aux volontaires. Là, sur ce nouveau monde, ils allaient devoir se servir de leurs connaissances et trimer durement pour utiliser uniquement ce que la nature leur offrait. Tout cela dans le but de les obliger à développer leurs propres talents et surtout la vertu de la solidarité et de l'harmonie. Voici la véritable origine des "douze tribus et des anges déchus" de la Genèse et qui furent des humains qui tombèrent de la haute condition d'une vie céleste, à la dure réalité de la vie terrestre.
Cela ressemble à de la haute science-fiction, n'est-ce pas. Mais l'auteur de ce texte affirme qu'il ne contient que des paroles véridiques. Vous trouverez ce texte dans le livre de G.Adamki intitulé en anglais "Inside the Space Ship" de 1955 et publié aussi en 1979, en français, par Michel Moutet Editeur sous le titre "A l'intérieur des vaisseaux de l'espace".
Voir alors nos articles :
http://www.artivision.fr/docs/RetourauCosmosplus.html
Cette thèse, chose extrordinaire, est pourtant totalement confirmée par une autre source apparemment différente et venant d'une française nommée Rose C., et dont les origines très modestes, nous permettent de prévoir, à l'époque, que les extraordinaires informations, qu'elle nous dévoile, n'ont aucune connexion avec la précédente.
Voir alors nos articles :
Fred IDYLLE
Aussi en souvenir de cette épopée, voici un petit sonnet sans prétention, que ne désapprouveraient peut-être pas, tout à fait, les poètes de la Pléiade.Sonnet
Réclusion Cosmique
Extasiés, ils sortaient de l'Héliosfusée,
Qui les avait exclus de la belle planète,
Que, toujours guerroyant, ils avaient bien usée,
Détruisant toute chose par leurs coups malhonnêtes.
ILs foulaient plein d'ardeur, ce sol presque moelleux,
Caractéristique de l'impétueuse vie,
Qui avait déjà fui, de leur berceau fielleux,
Et que certains voulaient, d'une insatiable envie.
Mais déjà, quel affront, par des actions stériles,
Ils s'enfermaient à clef, dans leurs mornes chimères,
Reprenant sur la Terre, leurs sinistres colères.
Et refusant encore, cette paix si utile,
Ils se mouraient flétris, par une angoisse amère,
Quand je me réveillai, de mon songe éphémère.
-------------------------------------------Eddy Filler
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