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jeudi 2 avril 2009

Cosmogonie ésotérique

D'après une comogonie très ésotèrique, la vie n'est pas née par accident sur cette Terre comme l'affirme les plus grands astronomes. l'Humanité s'est manifestée bien des fois, ailleurs que sur cette planète qui n'est qu'une infime poussière de la Création Ordonnée de l'Unique Infini où reignent des lois cosmiques et qu'il convient de connaître et de respecter. Longtemps avant même que le système solaire fut en formation, il y avait des voyages interplanétaires à l'intérieur des systèmes et entre ceux-ci. Quand une planète est arrivée au stade qui permet qu'elle devienne habitable par l'homme, des volontaires qui le désirent en général, sont déposés sur la planète avec tout l'équipement nécessaire. Mais pour la Terre, il y eu d'abord un premier essai qui échoua. Les rares individus de la race originelle Tritéria qui ne voulurent pas repartir vers d'autres cieux furent tous décimés. Il n'en reste aucun souvenir dans nos mythologies, si ce n'est dans celle qui parle du Dieu Triton. Des siècles plus tard, les conditions de vie s'amèliorèrent, mais la Terre ne possédant qu'une seule lune, ce qui créait un état naturel de déséquilibre et à moins qu'une deuxième lune, dans une ère future, apparaîsse, on décida d'attendre encore avant de la peupler à nouveau. Mais même si la race humaine, dans son ensemble, préfère vivre en paix et en harmonie avec la création, ici et là, quelques uns laissent croître leur égo personnel et leur agressivité en devenant avides d'assumer le pouvoir. Ces sinistres individus sont à l'origine des guerres meurtrières et dévastatrices qui détruisent l'environnement. Aussi lors d'une réunion des Maîtres de la Sagesse Cosmique en un lieu, sans doute paradisiaque, il fut décidé de conduire ces égoïtes des différentes planètes sur une planète capable de maintenir la vie humaine. On ne pouvait en effet, ni les détruire ni les enfermer car ceci est contraire à la Loi Cosmique. Et, on pourrait déjà s'en douter, c'est la Terre qui fut choisie.

Ainsi "ces fauteurs de troubles" furent rassemblés dans des vaisseaux et transportés sur notre planète, sans équipement ou instrument d'aucune sorte que l'on donnait habituellement aux volontaires. Là, sur ce nouveau monde, ils allaient devoir se servir de leurs connaissances et trimer durement pour utiliser uniquement ce que la nature leur offrait. Tout cela dans le but de les obliger à développer leurs propres talents et surtout la vertu de la solidarité et de l'harmonie. Voici la véritable origine des "douze tribus et des anges déchus" de la Genèse et qui furent des humains qui tombèrent de la haute condition d'une vie céleste, à la dure réalité de la vie terrestre.

Cela ressemble à de la haute science-fiction, n'est-ce pas. Mais l'auteur de ce texte affirme qu'il ne contient que des paroles véridiques. Vous trouverez ce texte dans le livre de G.Adamki intitulé en anglais "Inside the Space Ship" de 1955 et publié aussi en 1979, en français, par Michel Moutet Editeur sous le titre "A l'intérieur des vaisseaux de l'espace".


Voir alors nos articles :


Cette thèse, chose extrordinaire, est pourtant totalement confirmée par une autre source apparemment différente et venant d'une française nommée Rose C., et dont les origines très modestes, nous permettent de prévoir, à l'époque, que les extraordinaires informations, qu'elle nous dévoile, n'ont aucune connexion avec la précédente.


Voir alors nos articles :

Fred IDYLLE

Aussi en souvenir de cette épopée, voici un petit sonnet sans prétention, que ne désapprouveraient peut-être pas, tout à fait, les poètes de la Pléiade.

Sonnet

Réclusion Cosmique

Extasiés, ils sortaient de l'Héliosfusée,
Qui les avait exclus de la belle planète,
Que, toujours guerroyant, ils avaient bien usée,
Détruisant toute chose par leurs coups malhonnêtes.


ILs foulaient plein d'ardeur, ce sol presque moelleux,
Caractéristique de l'impétueuse vie,
Qui avait déjà fui, de leur berceau fielleux,
Et que certains voulaient, d'une insatiable envie.

Mais déjà, quel affront, par des actions stériles,
Ils s'enfermaient à clef, dans leurs mornes chimères,
Reprenant sur la Terre, leurs sinistres colères.

Et refusant encore, cette paix si utile,
Ils se mouraient flétris, par une angoisse amère,
Quand je me réveillai, de mon songe éphémère.

-------------------------------------------Eddy Filler

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