I Introduction
Ainsi donc, le Lundi soir 17 Août 1998, le Président des Etats-Unis, Bill CLINTON, a dû faire amende honorable devant les 23 membres du Grand Jury Fédéral (sorte de chambre de mise en accusation) et a avoué sa relation "non convenable" avec l'ancienne stagiaire de la Maison Blanche, Monica Lewinsky, relation qu'il avait pourtant toujours niée auparavant. Cette affaire qui a duré plus de 4 ans et a coûté la bagatelle d'environ 24 milliards de centimes, nous montre, la force et aussi la faiblesse de la démocratie américaine, car au départ, elle ne concernait que la vie privée du Président, et n'aurait dû intéresser en principe, que sa femme et ses enfants.
II La genèse de l' affaire.
On peut dès lors imaginer l'importance d'autres secrets encore plus fantastiques, que ce président détient et qui devront un jour aussi, être dévoilés sous la pression des médias et des procureurs indépendants déterminés comme ce procureur Kennet Star qui a fait plier le genoux à l'homme le plus puissant des Etats-Unis. Quel sera alors, le procureur audacieux, qui osera s'attaquer aux déclarations ambiguës de la NASA et de ses protagonistes d'astronautes..?
En effet pour tirer un notoire profit des retombées technologiques des appareils et matériels récupérés, à la suite d'éventuels crashs, ou encore pour éviter sans doute une hypothétique baisse du dollar, ou peut-être enfin pour enrayer une trop bonne entente entre les hommes de cette planète qui ruinerait les marchands de canons qui préfèrent "diviser pour mieux régner", les "autorités mondiales" ont décidé le black-out total sur toutes informations concernant les ovnis et les incidents annexes survenus pendant les épopées lunaires. Mais certains documents arrivent à échapper au "Top-Secret" par des voies détournées. C'est ainsi, en ce qui concerne les ovnis, que les psycho-sociologues qualifient facilement, d'hallucinations collectives, et à la suite d'une action en justice, sous le couvert de la loi sur la liberté de l'information en date du 4 Juillet 1974 (F.O.I.P.A Freedom of Information and Privacy Act), qu'un chercheur canadien, Mr Arthur Bray d'Ottawa, a obtenu, ces derniers temps, dans un lot de documents sans grand intêret, la copie d'un mémorandum rédigé par l'ingénieur Wilbert.B.Smith qui était responsable des télécommunications du Ministère des Transports du Canada, daté du 21 Novembre 1950, et adressé au ministre concerné portant à l'origine la mention "Très Secret" et donnant les informations qu'il avait obtenues lors de conférences et de contacts à Washington avec ses collègues américains. Mais que raconte donc, ce mémorandum ? :
" J'ai fait de discrètes approches par l'intermédiaire du personnel en poste à l'ambassade du Canada à Washington, lequel réussit à obtenir pour moi les renseignements suivants :
a) L'affaire (des disques volants ou soucoupes volantes comme on disait à l'époque) est le sujet le plus hautement classifié (c'est à dire tout à fait Top-secret) au sein du gouvernement américain des Etats-Unis, à un niveau plus élevé que la bombe H.
b) Les soucoupes volantes existent.
c) Leur modus operanti est inconnu mais un effort très intensif est fait actuellement là-dessus par un petit groupe dirigé par le Dr Vannevar Bush. ( Groupe appelé par la suite, Majestic 12)
d) L'affaire entière est considérée par les autorités des Etats-Unis comme étant d'une immense importance."
Voir la copie de ce mémorandum pages 97 et 98 du livre de notre ami Jean Sider:"ULTRA TOP-SECRET": Ces Ovnis qui font peur. Ed. AXIS MUNDI 8, Galerie Montmartre 75 002 Paris.
Notons que par la suite, on a appris que c'était le Dr Robert I. Sarbacher, qui fut le Président du Washington Institute of Technologie jusqu'en 1983, qui avait donné les renseignements à l'ingénieur canadien B. Smith . De plus découvrit par la suite , dans le carnet de notes de ce canadien, qu'il avait interrogé ce Dr Sarbacher sur le livre de Franck Scully: "Behind the flying Saucers", premier livre américain sur les soucoupes volantes traduit en français sous le titre: "Le mystère de soucoupes volantes" et paru chez Del Duca en 1951. (Voir notre article sur "L'Affaire Roswell": ovni.html)
"Voici quelques mots retrouvés dans ce carnet de notes:
" W.B. SMITH: j'ai lu le livre de Franck Scully sur les soucoupes volantes, et j'aimerais savoir qu'est-ce qu'il y a de vrai dans cette histoire ?
R.I.SARBACHER: Les faits cités dans ce livre sont corrects en substance.
W.B. SMITH: Alors les soucoupes existent ?
R.I.SARBACHER: Oui; elles existent.
W.B. SMITH: Se déplacent-elles comme le suggère Scully sur des principes basés sur le magnétisme ?
R.I.SARBACHER: Nous n'avons pas pu reproduire leurs performances.
W.B. SMITH: Viennent-elles d'une autre planète ?
R.I.SARBACHER: Tout ce que nous savons, c'est que nous n'avons pas pu les construire et il est à peu près certain qu'elles ne sont pas originaires de la Terre.
W.B. SMITH: Je comprends pourquoi toute cette affaire de soucoupes est classifiée.
R.I.SARBACHER: Oui. Elles est même classifiée à deux niveaux plus élevés que la bombe H. En Fait, c'est le sujet le plus haut classifié au sein du Gouvernement à l'heure actuelle
W.B. SMITH: Puis-je connaître la raison de cette classification ?
R.I.SARBACHER: Je regrette, mais je ne puis vous le dire... "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on comprend désormais très bien, le pourquoi de la promulgation aux Etats-Unis de l'ordonnance AFR 200-2 (qui indiquait comment réduire banalement les cas d' objets volants non identifiés ) et surtout de l'ordonnance JANAP 146 (qui punissait de dix ans de prison et de 10000 dollars d'amende tout pilote militaire révélant au public l'observation d'un"incident aérien" sans autorisation des ses supérieurs.)
A l'abolition de cette dernière, les pilotes rendirent immédiatement publiques quelques 24000 observations et les 500 employés du Centre de recherches ufologiques (concernant les ovnis) de la "Northwestern University" appelé désormais la "Heineck Foundation" enregistèrent plus de 300 000 rapports sur les évolutions d'ovnis. (Voir page 163 du livre de Shirley Andrews "L'Atlantide" 1998 chez AdA)
Et que dire aussi alors des astronautes de la NASA qui comme nous le dévoile Maurice Chatelain, un spécialiste français du radar, devenu citoyen américain et chose rare ayant obtenu une "Top secret security clearance" (Autorisation d'accès aux secrets concernant la défense nationale américaine) :
"Les astronautes n'ont pas eu que des problèmes matériels. Ils ont vu des choses dont ils n'avaient pas le droit de parler à qui que ce soit... et il paraît que tous les vols des Capsules Gemini et Apollo ont été suivi par des véhicules spatiaux d'origine extraterrestre ou si l'on on préfère, par des soucoupes volantes." (Voir page 34 de son livre:"Nos ancêtres venus du Cosmos" chez R.Laffont en 1975),."
Et aussi dans son livre de 1979 "Le Temps et l'Espace", il rajoute, en page 21 :
"La NASA avait ainsi réussi à étouffer pendant plus de douze ans tous les incidents qui s'étaient produits entre des fusées spatiales américaines et des soucoupes volantes".
Nous avons déjà développé dans les articles "l'affaire du Paris-Match 1028" et "En marge de l'éclipse quelques mystères sur la Lune", l'incroyable aventure d'Apollo 8, voyons maintenant ce qui arriva à Apollo 11 :
Nous pouvons passer rapidement sur l'espèce de "cylindre creux" qui changeait apparemment de forme, d'après l'astronaute Collins, et qui a accompagné jusqu'à la Lune le module de commande d'Apollo 11, et passons aussi sur les bruits semblables au sifflet d'une locomotive ou d'une scie électrique, entendus par les astronautes et même aussi sur Terre, si bien que le speaker de la Nasa posa à ces derniers, la question incongrue suivante : "Vous êtes sûrs que vous n'avez jamais communiqué avec eux...!" (Note du Webmaster : En 1998, quand nous avons commencé cet article, il n'existait pas encore les très nombreux sites, qui désormais remettent en cause ces missions Apollo).
Mais, pour ce même vol d'Apollo 11, à l'arrivée sur la Lune, il était prévu de longue date, que les astronautes Armstrong et Aldrin, les premiers hommes à fouler à notre époque le sol lunaire ce 20 Juillet 1969 à 22h56 heures des Antilles, devaient rester environ 10 heures dans le module lunaire (le LEM) pour se reposer et se préparer à leur éprouvante sortie de 2 à 3 heures sur sol de la Lune, où ils devaient en principe d'abord, sans s'éloigner, remplir leur récipient d'échantillons de roches et de poussière, afin de ramener, "en cas de retour forcé et précipité", autre chose que des photographies. Or la Nasa, qui d'ordinaire est si prodigue en informations, n'a jamais expliqué pourquoi il fallait envisager un retour "forcé et précipité". Elle n'a jamais, non plus, expliqué pourquoi les astronautes obtinrent le droit de quitter le LEM près de cinq heures avant l'heure prévue, ce qui provoqua, non seulement un surplus de fatigue pour Armstrong et Aldrin, mais surtout ce qui entraîna une confusion générale dans les retransmissions des programmes radios et télé du monde entier. (Voir à ce sujet l'ouvrage de Jacques Bergier et Georges H Gallet : Le livre du Mystère chez A.Michel 1975)
D'autre part, notons aussi ce fait important : Le 15 juillet 1975 fut lancé le vaisseau soviétique Soyouz 19 avec les cosmonautes A. léonov et V. kubasov et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias si le vaisseau américain Apollo 18 ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains : T. Stafford , V.Brand et D.Slayton ont été largement filmés et retransmis dans tous les télés, radios et presses du monde entier. Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux pour toute nécessité ultérieure. Mais maintenant, il nous vient à l'idée que la Nasa n'a jamais montré, (à notre connaissance bien sûr: les internautes qui en auraient la preuve nous ferait un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes Armstrong et Aldrin revenant de la Lune et de leur compagnon d'infortune Collins, lui privé, hélas, du débarquement et qui est resté sagement dans le module de commande à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or Collins n'avait-il à sa disposition à l'intérieur de la cabine une caméra pour filmer tout ce qu'il se passait à l'extérieur sur la Lune. Aux spécialistes de répondre...
Quelle joie ce serait pour lui de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion au monde entier ? Non rien de tout cela ne nous a été présenté par la NASA. Quelle conclusion peut-on en tirer ? Seule la photo suivante déjà jaunie par le temps demeure dans nos archives. Elle est tirée d'un calendrier publié en 1971 par les Editions LYS (B -8500) Kortrijk imprimé en Belgique :
Cette photo est accompagnée au verso de la légende : " Eagle de nouveau en orbite lunaire le 21 juillet 1969, vers 2 heures de L'après midi. Retournant au Module de Commande d' Apollo 11, Armstrong et Aldrin se trouvent dans le module de décollage, juste après leur lancement de la Lune... Ils commencent ainsi la première partie de leur voyage de retour à la Terre. En haut sur la photo, notre planète à demi plongée dans la nuit, au desuus de la courbe de l'horizon lunaire."
Pas de chance sur cette photo, nous aurions aimé voir fonctionner les tuyères des réacteurs d'approche, mais ce n'était pas sans doute, le bon moment, quand la photo a été prise...
Cette photo agrandie apparaît aussi sur deux pages dans le n° hors série de la revue Ciel&espace de 1999 page 42 et 43 avec la légende : "Fin de la première aventure lunaire...ce 21 juillet 1969, l'étage supérieure du module Eagle se propulse vers son rendez-en orbite avec Colombia sur fond de lever de Terre " (C'est dommage que cette revue n'ait pas, elle non plus, pu nous montrer une photo du rendez-vous à l'intérieur de la cabine...)
La caméra était-elle fixée à l'extérieur du Module de Commande pour réaliser la photo ci-dessus ? Il est important de le savoir car nous n'avons jamais vu, pour cette mission d'Apollo 11, ni d'ailleurs pour aucune autre mission Apollo, un seul cliché représentant l'arrivée des astronautes lunaires dans la cabine du Module de Commande... Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur la Lune, qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagon, sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir ?...Ne trouvez-vous pas cela bien bizarre? Nous attendons vos appréciations...
Cette parenthèse fermée, revenons à Armstrong qui déclara lors de sa "promenade" lunaire, sous le coup d'une grande émotion en baissant la voix: "Ils mesurent 6 à 15 mètres et ..." puis hésitant il poursuivit: "et... à un demi-mille de nous environ, il y a des "traces" qui semblent avoir été laissées par les chenilles d'un char d'assaut..." . Mais nous savons qu'Armstrong est un observateur trop expérimenté pour qu'il puisse dire n'importe quoi, et il avait très probablement des instructions spécifiques pour révéler ce qu'il voyait. Donc s'il parle de "traces de char d'assaut", c'est bien de structures artificielles dont il s'agit, mais en utilisant à ce moment précis la longueur d'onde secrète de la NASA, pour révéler sa surprise, il y aurait eu une interruption trop brutale des communications qui aurait alerté les auditeurs attentifs du monde entier. Puis Armstrong ajoutera une autre phrase plus insolite: "Tenez prête la base spatiale à proximité..!" . Il voulait ainsi signifier au Centre de Contrôle de la Terre de Houston, de bien repérer les instants où le module de commande Colombia, dans lequel opérait Collins serait le plus proche du LEM. Pourquoi cette déclaration, puisque cette opération est uniquement tributaire du temps de rotation de Colombia autour de la Lune et surtout elle dépend du moment choisi par les occupants du Lem pour quitter la Lune ? En clair, cette phrase, apparemment innocente d'Armstrong, signifie: " Nous avons détecté un "problème" qui peut entraîner un départ précipité, selon vos possibilités de nous faire rejoindre Colombia. "
Qu'avaient donc détecté Armstrong et Aldrin sur le sol lunaire (s'ils y étaient vraiment) pour réclamer une telle chose?
Plusieurs ouvrages présentent le fait que de nombreux radios-amateurs américains et sans doute aussi à l'écoute dans d'autres pays et détenteurs de récepteurs à ultra haute fréquence, réussirent à capter les phrases stupéfiantes prononcées par Armstrong (alors qu'il faisait avec Aldrin un tour d'inspection à proximité du LEM) qui en saisissant le bras d'Aldrin s'écria : " Qu'est-ce que c'est ? Bon sang ! Je voudrais bien savoir ce que c'est !". Puis il y eu quelques instants de confusion et on entendit la voix du contrôleur de la Nasa disant: "Que se passe-t-il ?...ça ne marche pas ? " (ici il y eu des mots confus et un brouillage de la communication) puis "Centre de contrôle appelle Apollo 11..." Réponse d'Armstrong :" Ces machins là sont énormes mon vieux.. énormes, Oh mon Dieu, c'est incroyable!...Il y a d'autres vaisseaux spatiaux ici ...ils sont alignés de l'autre côté du cratère... Ils sont sur la Lune et ils nous observent..."
Cet incroyable message d'Armstrong, fut supprimé de la retransmission télévisée et évidemment la NASA n'a jamais ni confirmé ni même démenti, cette déclaration. Mais si elle est exacte, on comprend parfaitement l'effroi et la confusion totale du centre de Houston qui, sur le canal radio secret de la mission, a obligé les astronautes par la suite, à "oublier" ce qu'ils avaient vu et à poursuivre leur travail comme si rien ne s' était passé.
A propos "d'oubli", rappelons en passant, que certains astronautes d'autres missions ont carrément, oublié là-haut des films, (comme Apollo 12 dont 3 rouleaux furent oubliés et dont la caméra principale "refusa de fonctionner" et aussi Apollo 14 dont le film qui montrait les évolutions des astronautes sur le Site de Fra Mauro fut encore, lui aussi, oublié sur la Lune), sans doute parce que tout cela était bien trop révélateur...
Mais revenons à Apollo 11. Comment en effet, expliquer le comportement désarmant de ses astronautes, à leur retour sur Terre ? :
- Michaël Collins, qui aurait été dit-on "choqué" par son simple survol de la Lune, alors qu' il ne l'a même pas foulée du pied, n'a-t-il pas dû abandonner tout espoir d'y retourner un jour ? Voir à ce sujet le surprenant article de Jean Grandmougin de la revue "Valeurs Actuelles" n° 1725 de Déc. 1969 page 22.
- Buzz Aldrin, qui parait-il a été interné deux fois n'a-t-il déclaré: "On nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés" (voir Paris-Match nº1242 du 24 fev 1973.)
- Neil Armstrong, le premier à poser ses lourdes bottes sur le sol lunaire, n'a-t-il pas quitté la Nasa dans des conditions bizarres, alors que sa célébrité lui donnait droit à un traitement de faveur et une bonne retraite dans cet organisme ? Il aurait pu d'ailleurs profiter de cette célébrité pour honorer les nombreux contrats publicitaires qu'on lui proposait, s'enrichir très notablement et devenir ainsi milliardaire comme le font aisément certains sportifs américains bien connus. Au lieu de cela, il va enseigner discrètement l'Astronautique dans l' Université de Cincinnati , et ne veut surtout plus entendre parler de la Lune, et n'adresse même pas la parole à ses voisins comme si cette Lune lui avait donné le dégoût de la Terre...! C'est très très rare qu'un américain célèbre refuse d'amasser sans effort des masses de dollars, qu'on lui propose sur un plateau..!
Notons enfin à ce sujet, une déclaration du "très remarquable" ouvrage d'Ann Valentin et Virgina Essene "Révélation Cosmique" aux Editions "Louise Courteau" au Canada: " La Lune n'est qu'une station-relais transitoire... où les visiteurs venus d'ailleurs peuvent se reposer... Quand vos astronautes sont revenus de la lune et d'autres missions, ils avaient pris conscience télépathiquement de l'existence d'autres formes de vie dans l'univers. Quelques-uns ont même aperçu des êtres différents des humains, ce que vos gouvernements ont refusé de croire, ou qu'ils ont caché et nié." édition 1997 page 155.
III Conclusion
Que faudrait-il ajouter de plus, si ce n'est que ces deux astronautes comme bien d'autres d'ailleurs, ont bel et bien été traumatisés, par leur bref passage sur la Lune, et sûrement pas, par la poussière et les cailloux du sol de notre satellite ? Il est donc impératif qu'un procureur indépendant se penche désormais aussi sévèrement que ce procureur Kennet Star sur ce dossier en retrouvant les bandes magnétiques des quelques radios amateurs qui auraient enregistré les conversations d'Apollo 11, pour les faire authentifier scientifiquement et déclencher comme dans l'affaire Monica Lewinsky, les aveux des plus hauts responsables, qui pour des questions de prestiges d'une grande puissance ont caché au Monde entier, une incomparable vérité qui devrait, de toute évidence, changer toute l'histoire de l'humanité. On a bien le droit de rêver un peu n'est-ce pas ?...
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