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jeudi 2 avril 2009

Retour vers le futur à la découverte des "capsules du Temps

I Introduction


Une courte information de l' Agence France Presse (AFP) du vendredi 19 Mai 2000, va nous permettre aujourd'hui, de dévoiler l'un des plus grands mystères de la littérature mondiale que nous n'avons pourtant jamais abordé sur ce site, afin de ne pas choquer trop brutalement "les valeurs psychiques et psychologiques" des internautes, non préparés à ce genre de révélation, et qui nous font l'honneur de visiter épisodiquement notre modeste site, essentiellement réservé à ce que l'on peut appeler le "réalisme fantastique ésotérique".

Rappelons qu'il ne s'agit pas ici de science-fiction, comme certains ont le droit de le croire, mais plutôt de "prospective intellectuelle" (l'entrée dans le troisième millénaire, nous y autorise) basée sur des faits dûment répertoriés dans la "littérature ésotérique" et dont l'ouvrage (hélas très rare) "les faits Maudits" de George Langelaan publié aux éditions "Planète" en 1967, a su, en partie, nous en faire l'écho.

Pour ceux qui apprécient la bonne science-fiction, qui est toujours un excellent tremplin pour l'ouverture d'esprit qui semble faire tant défaut à certains quidams de nos jours, mentionnons l'excellent site : http://www.sliders.fr.st sur la série des sliders : les mondes parallèles et surtout les deux remarquables articles de Greg Dubos dans le n° 30 de fin 99 de la revue "Génération Série".

D'ailleurs, ces articles, nous invitent à faire à la Spielberg, une plongée vertgineuse dans le passé de la Terre, pour peut-être mieux appréhender notre futur.

II La genèse de l' affaire.

Voici donc cet article de L'AFP :

VENDREDI 19 MAI 2000.

Vingt objets mis sous scellés pour un siècle.

Vingt objets considérés comme les plus représentatifs du 20ème siècle ont été mis sous vitrine scellée pour 100 ans mercredi au musée Pointe-à-Callière, le musée d'archéologie et d'histoire de Montréal.
Les vingt objets (réels ou modèles réduits) choisis par un jury avec le concours du grand public,sont censés refléter une valeur, un mode de vie, une invention ou un événement. Certains choix sont très banals, comme l'ampoule électrique, l'automobile, le téléphone ou l'avion. D'autres sont plus inattendus, tels le béret bleu des Nations unies, la bouteille de Coca-Cola, le bulletin de vote, la déclaration universelle des droits de l'Homme ou le sac à ordures.


Fin de l'article de l'AFP.

Ce n'est pas la première fois, de par le monde, que l'on enterre des objets en mémoire des générations futures, et nous nous demandons aujourd'hui, si ce réflexe anodin, ne cache pas un "atavisme légendaire", un peu comme l'instinct de l'oiseau qui construit son extraordinaire nid avec uniquement son bec et ses pattes (et que nous serions bien incapable de faire avec nos dix doigts) et nous allons donc tenter ici d'expliquer pourquoi ? Mais attention aux âmes sensibles, mieux vaut ne pas poursuivre la lecture de cet article.

Le premier octobre 1971, le journal "Le Monde" que l'on ne peut taxer du qualificatif de "peu sérieux", publiait (chose très rare, et événement qui nous le pensons, ne s'est jamais reproduit depuis), une double page (p.16 et P.17) sur "La renaissance de l'occultisme" , où il est fait état "d'une nouvelle définition de l'homme et de ses pouvoirs", et où l'on peut lire aussi cette phrase surprenante, mais néanmoins admirable : "Rien n'est plus vrai que le merveilleux" qui aurait pu faire, à notre avis, l'objet d'une excellente dissertation philosophique au BAC. (Mais cela nous éloigne de notre sujet et pourrait faire l'objet d'un autre débat).

L'article du "Monde", débute en tout premier lieu, par le paragraphe: "Le troisième Oeil du Lama", où il est question de l'écrivain Lobsang Rampa, auteur très controversé de l'ouvrage incroyable "Le troisième Oeil", paru en en Angleterre en 1956, et en France chez Albin Michel en 1957.

L'auteur qui prétend être "la réincarnation d'un lama tibétain", nous donne alors un panorama entier de la vie tibétaine, avec un luxe de détails, qui a laissé pantois, les plus grands spécialistes de l'Orient, si peu nombreux à avoir visité cette contrée, longtemps fermée aux étrangers. (La française Alexendra David-NEEL avait dû se déguiser en homme, pour y pénétrer secrètement avant la guerre 14-18. Voir par exemple, à ce sujet, son ouvrage remarquable : "Voyage d'une Parisienne à Lhassa ou Mystiques et magiciens du Tibet" ).

Pour ceux qui n'ont eu encore le privilège de lire ce "Troisième Oeil", on peut encore avoir la chance de le trouver hez les bouquinistes en livre de poche en "J'ai lu" sous le n° A 11 dans la collection "L'aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues" qui helas n'existe plus. Sinon se rabattre toutjours en "j'ai lu" sur la collection "l'aventure secrète" sous le n° 1829, ouvrage qu'il convient absolument de lire, avant que d'entamer les 18 autres livres qui suivirent, presque tous aussi fantastiques, les l'uns que les autres.


Mais revenons à notre article de l'AFP avant d'expliquer pourquoi ce Lobsang Rampa a défrayé la chronique au début de la décénie 50.

Dans un livre intitulé "La caverne des anciens" publié en Angleterre en 1963 et en J'ai Lu en 1972 n° A226, puis sous le n° 1828, cet auteur nous raconte que son maître initiateur, le Lama Mingyar Dondup l'a conduit, lui, avec quelques autres élèves très privilégiés dans les Hautes Terres du Tibet, pour visiter une extraordinaire caverne, où les générations précédentes ont justement scellés à l'intention des hommes du futur, des objets proprement incroyables .

Donnons donc pour quelques lignes la parole au Lama L.Rampa :

Le Maître (le Lama Mingyar Dondup), explique alors à ses élèves :

" Je vais continuer mon récit, à présent dit-il. (Il reprit:) Voici ce que nous vîmes et entendîmes et ce que tu verras et entendras dans un avenir assez proche. Une haute civilisation existait en ce monde, il y a des millénaires. Les hommes pouvaient voler dans les airs sur des appareils qui défiaient la pesanteur; Ils étaient capables de construires des machines qui imprimaient des pensées dans l'esprit d'autres hommes_- des pensées qui apparaissaient sous forme d'images. Ils connaissaient la fission de l'atome et finirent par faire exploser une bombe qui détruisit le Monde, noya certains continents sous la mer, et fit surgir d'autres. Les populations furent décimées et c'est pourquoi toutes les religions parlent du déluge.

Ces dernières paroles ne m'impressionnèrent pas.

- Seigneur, dis-je, nous pouvons voir des images de ce genre dans les Annales Akashiques. Pourquoi se donner le mal de gravir de dangereuses montagnes, simplement pour voir ce que nous avons sous les yeux, ici même?

- Lobsang, dit mon Guide d'un ton grave, nous pouvons tout voir dans l'astral et dans les Annales Akashiques, puisqu'elles relatent tous les événements du passé. Nous pouvons voir, mais nous ne pouvons pas toucher. Dans le voyage astral, nous sommes incapables de toucher quoi que ce soit . Nous ne pouvons même pas emporter une robe de rechange ou rapporter une fleur, ajouta-t-il en souriant. De même avec les Annales Akashiques, nous voyons tout, mais nous ne pouvons pas examiner en détail les étranges appareils accumulés dans cette grotte de montagne. Nous allons partir là-bas et examiner ces machines.

- Il est singulier, dis-je, qu'elles se trouvent uniquement dans notre pays!

Oh! mais tu te trompes, répondit mon Guide.

Il existe une salle similaire au pays d’Egypte . Il y a une autre salle contenant des machines identiques dans une contrée qu'on appelle l'Amérique du Sud; Je les ai vues, je sais où elles sont. Ces chambres secrètes ont été cachées par nos ancêtres afin que les objets façonnés par eux soient découverts par une génération ultérieure, en temps voulu.....

Pendant des jours, je vécus dans la fièvre. J'étais tenu de garder le secret sur ce voyage. Les autres devaient croire que nous partions en montagne chercher des simples (Note du Webmaster : herbes médicinales). Même dans la ville aussi retirée que Lhassa, il se trouvait toujours des gens qui ne cherchaient qu'à s'enrichir; les représentants d'autres pays comme la Chine, la Russie et l'Angleterre, certains missionnaires et les commerçants venus des Indes désiraient, tous, savoir où nous gardions notre or et nos bijous, tous, cherchaient à tirer profit de n'importe quoi. C'est pourquoi nous gardâmes le secret absolu sur la nature de notre expédition.

Deux semaines environ après cet entretien avec le Lama Mingyar Dondup, nous étions prèts à partir, prèts à faire la longue ascension, par des ravins mal connus et des sentiers rocailleux. Les communistes sont aujourd'hui au Tibet de sorte que je tairai l'emplacement de la caverne des anciens, car elle existe et si les communistes entraient en possession des engins qu'elle contient ils pourraient conquérir le Monde ( Note du webmaster : il convient de bien retenir cette déclaration pour comprendre en partie l'attitude actuelle de la Chine vis a vis du Tibet).

Tout ce que j'écris est vrai, sauf en ce qui concerne la voie d'accès à la caverne. ...Puis après avoir franchi la corniche, je vis qu'il y avait effectivement une fissure dans la paroi rocheuse. Un Lama de haute taille me saisit aux épaules et me poussa par l'ouverture en disant d'un ton cordial :

- Entre le premier, tu pourras chasser les démons des rochers et nous protéger! C'est ainsi que moi, le membre le plus petit et le moins important de l'expédition, je fus le premier à pénétrer dans la Caverne des Anciens... Tout à coup la Lumière jaillit et je fut quasiment paralysé de terreur. Je demeurai immobile contre le mur, et contemplai le spectacle fantastique que j'avais sous les yeux.

La grotte semblait être deux fois plus spacieuse que l'intérieur de la grande cathédrale de Lhassa. Contrairement à la Cathédrale qui baignait toujours dans une pénombre que les lampes à beurre s'éfforçaient en vain de dissiper, il régnait ici une clarté plus vive que celle de la pleine lune par une nuit sans nuage. Non, elle était beaucoup plus brillante; la qualité de la lumière avait dû me donner l'impression du clair de lune. Je levai les yeux vers les globes d'où jaillissait cette illumination. Les Lamas se pressaient autour de moi et comme moi, ils regardèrent d'abord la source lumineuse.

Mon Guide prit la parole :

- Les anciens documents indiquent qu'à l'origine, cette caverne était beaucoup mieux éclairée qu'aujourd'hui, dit-il. Ces lampes brûlent de plus en plus faiblement au fur et à mesure que passent 1es millénaires.

Pendant un long moment, nous demeurâmes immobiles et silencieux, comme si nous craignions de réveiller ceux qui dormaient là depuis d'innombrables années. Puis, mus par une même impulsion, nous avançâmes sur le sol de pierre pour aller voir la machine qui se trouvait la plus proche de nous. Nous l'entourâmes, redoutant de la toucher, mais très curieux de savoir ce qu'elle pouvait bien être. Ternie par le temps, elle semblait cependant prête à se mettre en marche immédiatement si l'on savait comment s'y prendre. D'autres appareils attirèrent notre attention.... Ces machines étaient beaucoup trop compliquées pour nous. Je me dirigeai vers une petite estrade carrée, large d’environ un mètre, posée sur le sol et entourée d'un garde-fou. Ce qui me parut être un long tube de métal replié partait d'une machine voisine et l'estrade était reliée à l'autre exirémité de ce tube. Distraîtement, je montai sur cette plate-forme, me demandant à quoi elle pouvait bien servir. Et je faillis mourir de frayeur: l’estrade tressaillit et s’éleva dans les airs. Je fus tellement épouvanté que je m’accrochai désespérément à la rampe...

Les six Lamas levèrent sur moi des yeux consternés. Le tube s'était déplié et entrainait l'estrade vers l'une des sphères lumineuses. Affolé, je regardai par dessus le garde-fou. j'étais déjà à une dizaine de mètres du sol et l'ascension continuait. J'étais terrifié à l'idée que la source lumineuse allait me calciner, comme un papillon de nuit à la flamme d'une lampe à beurre. Il y eu un un click et l'estrade s'arrêta. La Lumière rayonnait à quelques centimètres de mon visage. Timidement j'étendis la main : La sphère était glacée...

...les autres lamas examinaient les étranges machines et s'efforçaient d'en découvrir l'utilité; Soudain , un cri nous fit nous retourner. Le Lama grand et mince se trouvait près du mur du fond et sa figure semblait prise dans une boîte de métal terni. Il se tenait là , tête baissée le visage complétement dissimulé. Deux de mes compagnons se précipitèrent vers lui et le tirèrent en arrière...Mon guide eut pitié de moi et me souleva jusqu'à ce qui semblait de toute évidence être des occulaires. Ayant posé les mains sur une poignée, comme on me l'indiquait, j'aperçus dans la boîte des hommes et des machines identiques à celles qui se trouvaient dans ce hall. Les hommes les manœuvraient. Je vis que l'estrade où j'étais monté jusqu'à la sphère lumineuse pouvait être dirigée à volonté et contituait une sorte "d'échelle" mobile ou plutôt d'appareil qui permettait de se passer d'échelle. Je remarquai que la plupart des machines étaient des modèles en état de marche tels que je devais en voir, quelques années plus tard, dans les musées scientifiques du monde entier. Nous nous dirigeâmes vers le panneau dont le Lama Mingyar Dondup m'avait parlé. A notre approche, il s'ouvrit avec un grincement qui parut si sonore dans le silence de cette grotte que nous bondirent tous d'effroi...Nous avançâmes péniblement et lorsque les dénivellelations se terminèrent, nous nous assîmes. A ce moment, nous entendimes une série de cliquetis comme du métal grattant du métal, et presque imperceptiblement, une lumière se glissa à travers l'obscurité et la dissipa. Nous regardâmes autour de nous et aperçûmes d'autres machines, aussi insolites que les précédentes. Il y avait aussi des statues et des dessins gravés sur le métal. Tout à coup, la lumière se concentra et forma un globe éblouissant, au centre du hall. Les couleurs clignotaient, sans raison apparente, et des bandes de lumière, également dépourvues de sens tournoyèrent autour du globe. Des images se formèrent, d'abord vagues et confuses, puis elles se prècisèrent, prirent un caractère de réalité et acquirent trois dimensions. Nous regardions de tous nos yeux...

C’était le monde de jadis. A l’époque où il était encore très jeune. Des montagnes se dressaient là où s’étendent aujourd’hui des océans et où les agréables stations balnéaires sont devenues des sommets montagneux. La température était alors plus chaude et d'étranges créatures erraient dans la campagne. Ce monde était en plein développement scientifique. On y voyait des engins bizarres qui volaient à quelques centimètres de la surface lu sol ou à des kilomètres dans les airs. De grands temples dressaient leurs pinacles vers le ciel, comme pour défier les nuages. Bêtes et Hommes se parlaient télépathiquement. Mais tout n'allait pas pour le mieux; les politiciens se disputaient entre eux.

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