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jeudi 2 avril 2009

Les enfants de nulle part.

I Introduction.


L'histoire étrange qui va suivre, est tirée principalement des deux ouvrages suivants : "Les extra-Terrestres dans l' Histoire" de Jacques Bergier aux Editions "J'ai lu" en 1970 n° A250 dans la prestigieuse collection: "l'Aventure Mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues", et "Archéologie Spatiale" de Peter Kolosimo aux Editions Albin Michel en Mars 1971 dans la collection non moins prestigieuse : "Les chemins de l'impossible" .

II Genèse de l'affaire.


Mr Kolosimo nous raconte que les légendes irlandaises sont pleines de créatures à la peau verte. Est-ce un hasard ? Une fantaisie due au fait que cette pigmentation n'existe pas chez les humains ? Cela se pourrait.

Pourtant résumons ce qu' a écrit Mr John Macklin dans un article publié par l'hebdomadaire Grit , en Décembre 1966 :

Un après-midi du mois d'Août 1887, deux enfants sortirent d'une grotte située aux alentours du village de Banjos en Espagne. Ils marchaient en se tenant par la main et traversèrent un champ où des paysans étaient en train de moissonner.

"Il y a environ quatre-vingts ans, nous raconte l'hebdomadaire que cette affaire a eu lieu, mais il y a encore des gens qui se souviennent de ce jour..."

Il y eut, bien entendu, des exagérations, des amplifications, mais les faits à la base de cette étrange événenent semblent exacts: Les deux enfants sont sortis de la grotte, ils avaient l'air craintif et ils parlaient un langage incompréhensible. Leurs vêtements étaient faits d'un tissu inconnu et leur peau était verte.

C'est une histoire bizarre, absurde, sans explications, qui pourrait tout au plus rappeler à la mémoire les recherches faites sur la quatrième dimension, sur un monde existant à côté du nôtre, un monde de phantasmes dont les enfants se seraient échappés.

Dans ce sens, déclare l'article de Grit : "on pourrait donner quelque crédit à ceux qui dirent que les enfants furent apportés par un typhon spatial. Ridicule ? Si vous voulez. Mais c'est la seule hypothèse qui fournit une réponse acceptable à l'apparition de ces deux enfants verts."

Un prêtre vint de Barcelone pour enquêter sur l'événement. Il vit les enfants, il écouta les témoins et quelques temps après il écrivit : "J'ai été si frappé de ce que j'ai entendu que je suis obligé d'accepter le fait bien que je sois incapable de le comprendre et de l'expliquer en ne faisant appel qu'à mon intelligence".

Les moissonneurs étaient en train de se reposer après leur repas, quand le petit couple apparut à l'entrée de la grotte. N'en croyant pas leurs yeux, les paysans se précipitèrent vers les enfants qui, épouvantés, se mirent à courir pour leur échapper. Après les avoir attrapés, ils les conduisirent chez Mr Ricardo Da Calno, un magistrat qui était le plus gros propriétaire du pays.

Mr Da Calno prit la main de la petite fille, la frotta énergiquement, mais la couleur verte ne disparut pas. Les enfants refusèrent de manger ce qu'on leur proposait, mais ils touchèrent avec leurs doigts le pain et les fruits en paraissant très intrigués.

Le magistrat remarqua que les traits de leur visage étaient réguliers et assez semblables à ceux des peuplades nègres. Leurs yeux étaient taillés en amande et très enfoncés dans les orbites.

Les enfants demeurèrent six jours chez Mr Da Calno, mais ils ne mangèrent rien et s'affaiblirent. On ne trouvait pas d'aliment qui leur convînt. Un jour, on leur apporta des haricots et ils se jetèrent dessus avidement. Ils ne touchèrent jamais à autre chose comme nourriture.

Ce jeûne avait tellement affaibli le garçon qu'il mourut un mois après sa sortie de la grotte. La fille elle, grandit normalement et devint domestique chez Mr Da Calno. Sa couleur verte diminua d'intensité et plus personne ne fit attention à elle. Elle finit par apprendre quelques mots d'espagnol et elle put donner de vagues explications sur elle-même : Le mystère n'en fut pas éclairci pour autant.

Elle déclara quelle venait d'un endroit où il n'avait pas de soleil et où il ne faisait ni jour ni nuit donc où il y avait on suppose, un crépuscule permanent. Elle dit : "Il y a un pays éclairé pas loin de nous mais nous sommes séparés de lui par un fleuve très large." Lorsqu'on lui demanda comment elle était arrivée ici, elle répondit : "Il y a eu un grand bruit. Nous avons été pris dans un tourbillon et nous nous sommes trouvés dans la grotte près du le champ de blé."

Elle vécut pendant cinq ans et fut enterrée à côté de son frère.

L'histoire prend fin là. C'est donc bien une étrange histoire. S'agit-il d'une fable, d'une légende transmise de génération en génération ?

Des documents relatifs à ce cas rapporté, existent et ils sont joints aux déclarations faîtes sous la foi du serment par les témoins qui virent, touchèrent, interrogèrent les enfants qui sortirent, en se tenant par la main, d'une caverne très profonde.

III Conclusion.


Voilà donc, si tout cela est authentique, encore un fait dit maudit que l'on ne retrouve d'après Jacques Bergier que dans des receuils obscurs établis par des collectionneurs du bizarre.

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