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jeudi 2 avril 2009

Remue-ménage cosmique

I La genèse de l' affaire. Nous présenterons aujourd'hui quatre volets qui posent des interrogations insolubles aux scientifiques qui ont bien voulu les étudier. (voir ensuite l'article "La Lune championne de l'orthogonalité" qui complète parfaitement ce dossier)

a) Manifestations objectives dans le Cratère Vitello.



En Août 1967, la sonde américaine "Lunar orbiter V" a photographié (Ref. NASA 67-H-1135) à l'intérieur du cratère Vitello sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes) deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ 5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours . Le site ci-dessous, découvert par S. Rouat, nous a été proposé par l'internaute Julien Scordia :

http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/object_page/lo5_h168_2.html

On y découvre l'image 1 ci-dessous:



En sectionnant une partie de l'image, on découvre mieux les deux mobiles:



Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m . Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m) alors que la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?

D'ailleurs on constate que le fond à gauche de ce cratère est parfaitement jonché de structures blanchâtres ayant des formes géométriques remarquables surprenantes, qu'un meilleur grossissement fait par des spécialistes (ce que nous ne sommes pas) devrait mettre très bien en évidence.

Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?

Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck présentée dans la page d'accueil de ce site) a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale ( environ 25 m) et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?

Notons l'explication pour ce cas de la revue Science et vie de Mars 1968 N° 606 page 71 : "Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".

Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but , selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "a glissé" juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière ? Il n'y a pas d'atmosphère dit-on sur la Lune pour le tenir en suspension. Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus que ce bloc avait bougé ? Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé" en même temps de deux endroits différents...! et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul. Voir l'image 2 ci-dessous:

Mais si nous analysons attentivement les bords gauche et droit de la première image n°1 précédente, on ne peut manquer d'être surpris par des formes géométriques très structurées de blocs très blanchis et soit parallèles, soit orthogonaux. On peut même y voir tout à fait à droite une sorte d'étoile jouxtant un bassin presque carré. (voir l'image suivante hélas un peu déformée par l'agrandissement:)



Le 04/12/04, grâce à notre ami Christian Macé, le Maître es exploration du Web, nous avons pris connaissance d'un super site scientifique intitulé : "Qui est déjà sur la Lune ? " et dont voici l'adresse:


Toutes nos félicitations aux concepteurs de ce site.

Nous pourrions alors citer encore d'autres cas de modifications structurelles sur le sol lunaire comme par exemple ce cratère Linné situé dans la Mer de la Sérénité d'une douzaine de km de diamètre, soigneusement relevé par de nombreux observateurs (dont le fameux Flammarion) et qui en 1867 avait complètement blanchi et disparu, comme nivelé par une gigantesque entreprise. D'ailleurs voici deux autres cratères dont les bords semblent être, de nos jours, entrain de subir un rabotage systématique par des "pelleteuses" en forme de X ou de E. Voir l'image 3 ci-dessous:



On peut toujours mettre ces "érosions" caractérisées du sol lunaire au crédit du hasard, comme l'ont fait sans hésiter certains observateurs qui préfèrent avoir leur conscience en paix et dormir le soir sereinement. Mais cela sera-t-il encore possible après ce que nous réserve notre troisième volet ?

b)Nivellements caractérisés sur l'astéroïde Eros.



Le 14 février 2000, la sonde américaine Near se satellisait à 355km environ de l'astéroïde 433 Eros, un rocher d'environ 33 km de long dont la masse volumique est de 2,4 gramme par cm3 et dont on nous dit bien que les instruments de la sonde y ont noté la présence de plusieurs types de roches dont du pyroxène et de l'olivine des minerais à haute teneur en fer.

Analysons voulez-vous ques images d'Éros prises par la sonde en question et extraite du site :

sur la page :



On découvre ceci :



Mais regardons de plus près :



On découvre alors qu'il existe de nombreuses zones d'une blancheur notoire inexplicable, et on decrouvre ici des rayures ayant des barres parallèles coupant à angle droit un axe central. Mais il semblerait que cette blancheur cache parfois (comme le montre la flèche de gauche de la photo précédente et avec une loupe bien sûr c'est encore mieux) des formes très régulières (sortes blocs parallèles et orthogonaux)

Nous aimerions connaître l'explication des spécialistes sur la nature du phénomène qui est à l'origine d'une telle érosion du sol de cet astéroïde, où rappelons le, il n'y a sur Eros, ni air, ni eau, ni vent, ni volcan, etc..

Nous avons trouvé cependant une tentative d'explication de quelques spécialistes en vulgarisation astronomique :

En Avril 2000, la revue "Ciel & Espace" dans son n°359 publiait d'excellentes photographies de ce rocher, et en voulant commenter ces rayures insolites du cratère précédent, elle nous dit ceci : " Dès le 14 Février cette image du pôle d'Éros a montré des détails d'une trentaine de mètres . On y voit en particulier, à l'intérieur d'un gros cratère de 6 km de diamètre, des rainures parallèles qui sugèrent la présence de strates . C'est l'indice que l'astéroide est issu d'un corps différencier bien plus important ".

Donc si nous savons lire entre les lignes, cela signifie qu'Éros ne peut qu'être qu'un fragment d'un beaucoup plus gros rocher, détruit probablement par une collision gigantesque avec un autre corps céleste, et cela aurait été la raison de la présence de ces strates géologiques sur Éros. Le problème est que ces prétendues strates paraissent d'une fraîcheur inouie. A vous de juger tout cela...

De plus, la présente sur Éros de nombreux cratères indiquerait une probable ancienneté de ce rocher, qui étant donnée sa petitesse pose donc bien des problèmes.

Il existe ainsi des dizaines de photos d'Eros présentant ces zones extrêmement blanchâtres où l'on pourrait aller de suprise en surprises

Par exemple regardons la photo suivante :


En haut à droite de l'image, nous observons un complexe de structures ayant des segments à supports parallèles et orthogonaux et tout cela juxtaposé avec des trous parfaitement alignés.

Voyons maintenant cette autre image d'Eros :


Il ne nous reste qu'à attendre aussi que l'on nous explique la nature du phénomène capable que créer dans l'espace, sur un rocher en forme d'haricot plein de rondeurs, une topographie aussi structurée.

Au mois de Décembre 2000, la revue "Ciel & espace", a sorti son n° 367, en spécifiant qu'il était "exceptionnel", car il représente, nous dit-on le "journal du siècle en Astronomie". Cependant à la page 88, une photo d'Eros prise le 26 Octobre 2000, à 7 km d'altitude, par la sonde américaine Near, (qui, la revue le précise surtout bien, a réalisé des prises de vue avec grand un luxe de détails), mais, où l'on ne voit, chose surprenante, qu'un terrain presque uni sans aucune des rainures et anomalies extraordinaires relevées plus haut et qui pourtant font partie de "ce luxe de détails" que nous aimerions bien voir de plus près. Voir l'image suivante:



A vous d'en tirer les conclusions judicieuses qui s'imposent.

D'ailleurs voilà pourtant une autre image bien plus signficative , que celle qui précède :


Il y a aussi ces fameux blocs tout blancs, nommés "boulders" qui se dressent verticalement sur le sol uni d'Eros :



Le 18 Fév. 2001 notre ami, Christian Macé nous a permis de mettre la main sur l'image suivante d'Eros où l'on voit des nombreux autres boulders qui semblent parfaitement verticaux et bien taillés :



Voici d'ailleurs, une autre photo plutôt parlante :



Toutes ces photos d'Eros, nous le savons, sont consultables sur le site :


Autre photographie d'Eros en date du 2/05/2001.

Les nombreuses photos d'Eros , disponibles sur le site précédent, vous permettront d'en savoir un peu plus, mais terminons notre éventail, par la photo suivante, où nous avons placé des flèches pour mieux localiser certaines structures significatives.



En effet si vous scrutez le bout de la flèche n°1, vous apercevrez une structure très insolite en forme T, qu'il faudrait surtout bien analyser, tant elle est surprenante, ainsi que d'autres structures qui se trouvent en bout de la flèche n° 2, un complexe très extraordinaire de structures où règnent un bassin étrange ayant des angles droits et jouxtant un ensemble de blocs insolites presque cachés hélas par l'ombre formée dans grand cratère.

En suivant la crête supérieure du paysage, les flèches 3 et 4 montrent aussi très nettement deux formations insolites formés de blocs très structurés avec bords apparemment parallèles. Le rocher en bout de la flèche n° 5, lui, par la projection de son ombre au sol, nous montre qui a une forme très géométrique.

Il y a bien plus à voir dans cette image (comme certains bassins rectangulaires ou presque carrés, rainures parallèles etc...), que nous vous laissons le soin de découvrir par vous même . Des agrandissements fidèles et un traitement informatique, faits par des spécialistes pourraient s'avérer, ici , très utiles pour révéler, enfin, ce que l'on nous cache depuis des lustres. Avis aux amateurs.

Le 8 mai 2001 nous avons reçu du spécialiste en traitement photographique :Yves Vaillancourt l'agrandissement suivant :


Il est donc curieux que cette structure très insolite ci-dessus, n'ait jamais été montrée en 3D par la Nasa et les médias spécialisés si avides d'images chocs. Un grand merci donc à Yves Vaillancourt pour sa remarquable contribution à notre découverte d'Eros.

Voir aussi sur cette affaire d'Eros notre article suivant :


Prolongement révélateur en date du 05/04/01.


En Avril 2001, cette même revue "Ciel & Espace" , publiait dans son n° 371 une nouvelle photo de d'Eros (certes un peu moins simpliste que celle du n°367, montrée plus haut ), où l'on aperçoit cependant, page 30, tout de même, quelques timides boulders, à peine décelables, alors que cette revue aurait pu sans problème choisir au moins l'une des deux photos précédentes, à notre humble avis, bien plus explicites. On dirait que les rédacteurs ne tiennent pas à recevoir un courrier trop gênant au sujet des anomalies caractérisées que nous avons détectées sur Eros. Voyez vous même la photo ci-dessous et jugez :



Prolongement surprenant en date du 22/05/01.


La revue bien connue "Science & Vie", nous présente dans son n° 1003, d'Avril 2001, en plus d'un article très remarquable philosophique et scientifique de 2 pages, ayant trait au "hasard dans l'univers", article qui nous interpelle souverainement, il y a aussi un article plus court concernant l'arrivée le 12 février 2001 de la sonde Near sur Eros . Mais comme pour la revue "Ciel & Espace" précédente, les images qui nous sont présentées ici, (pourtant tirées nous dit-on de près de 160 000 photos prises par Near) sont d'une consternante banalité. Pas de blocs rectangulaires brillants verticaux, (les fameux boulders vus plus haut), pas de complexes blanchâtres où règnent des rainures parallèles ou orthogonales si ce n'est quelques cratères alignés:Voyez vous même la photo ci-dessous et jugez:



ou encore quelque cratères carrés justement remarqués cependant par la revue:Voyez vous même la photo ci-dessous et jugez:



Quant à la roche blanche, dont il est question dans le texte précédent, elle est si insignifiante dans le cercle jaune qu'une loupe permettrait à peine de l'apercevoir.

Nous avons cependant repéré sur une photo présentée par cette revue un assortiment de bassins ou d'ombres portées ( nous n'osons pas les qualifier de cratères ) curieusement formés et ayant des caractéristiques géométriques surprenantes: Voyez vous même la photo ci-dessous et jugez:



En conclusion nous avons encore noté, ici que les images qui posent vraiment problème sont soigneusement encore écartées à la vue du grand public.

Autre nouvelle :


Si vous jetez un coup d'oeil sur le site de l'ami Christian Macé :


Vous y découvrirez cette très étrange sphère. Mais regardez plutôt vite, où elle se trouve :


Photo NASA de l'astéroïde EROS :
au fond du cratère, une sphère de pierre
.
Bien sûr les détrateurs endurcis auront vite fait de nous dire que sur Terre, on peut trouver des blocs de roches qui ressemblent à des sphères, quand on les regarde d'en haut, et qu'il n'y a pas de quoi en faire un plat.

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